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Les Ex-Archivés

Amis visiteurs !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » !
Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance !
Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite !    
En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle !
Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…
9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 05:11

C’était assez stupéfiant !

 

Alors que notre « Bling-bling » national est donné « perdant » à la fois dans les intentions de vote des prochaines présidentielles, mais également – et depuis bien avant – dans les pronostics populaires, celui-ci s’inquiète-t-il du « bas-peuple » de « Gauloisie intempestive » ?

Pas du tout : Il est sûr de ses soutiens internationaux et persiste à porter les habits du « commandeur » qui… commande à ses généraux !

Et eux, ils s’y entendent à « jacter langue-de-bois » encouragés qu’ils sont par « les sources étrangères ».

Multiples et variées.

 

Bon, chacun pensera que le thème de ce post reste « Angèle à Mère-Quelle » la « deutsche-rigueur » : Des coups à laisser penser que demain notre politique sera réglée à Berlin, comme au bon vieux temps de l’occupation, et ses rancœurs germanophobes passéistes.

Demandez donc aux grecs ce qu’ils en pensent d’ores-et-déjà…

Juste comme d’un aperçu.

Remarquez, « Marinella » va plus loin dans sa route à l’Est, et son fameux bals des nostalgiques : Là au moins, elle fait un triomphe.

Ici, elle n’a toujours pas ses 500 signatures, paraît-il.

D’ailleurs, elle n’a pas 500 « grands électeurs », c’est dire.

 

Eh bien pour une fois, le soutien vient de Londres, via le Herald-Tribune : D’un afrikaner bon-teint, migré à London-city, au nom parfaitement britannique : « Roger Cohen ».

Je reprends son texte, d’il y a moins de 15 jours, vaguement et assez mal traduit de l’anglo-américain, vaille que vaille :

 

 

« LONDRES – Dans l'autre élection de 2012, la plus imminente, il n'y a que deux mots à retenir. Le premier est le leadership. Le second est le changement. Le reste, comme disent les Français, c'est du bla-bla.

 

Si les Français décident que leadership est plus important en temps de crise, ils serrent les dents et réélisent Nicolas Sarkozy. S'ils veulent changer pour un président qui ne ferment jamais leurs cœurs, ils sauront – comme Samuel Johnson a dit d'un deuxième mariage – embrasser l'espoir sur l'expérience et éliront le candidat socialiste, François Hollande.

 

Sur le visage de celui-ci, Hollande, allégée et cultivées d'une manière les Français aiment leurs présidents à être cultivées, devraient prévaloir. Il a une sente, si un rétrécissement ne le plombe pas dans les sondages d'opinion. Le taux de chômage, à un sommet inégalé en 12 ans, est à la hausse vers deux chiffres. La réforme des retraites a été impopulaire. L'humeur nationale est maussade même selon les normes gauloises. L'euro agonise. La gauche n'a pas tenu la présidence puisqu’à une autre époque, François Mitterrand en a été démis, il y a 17 ans.

 

En bref, cette consultation électorale ne peut pas être perdue de la gauche française à perdre. Elle peut seulement la gagner.

 

J'ai visité Paris il y a une semaine, persuadé que Hollande serait-il en pointe. Je suis revenu en pensant Sarkozy est le vainqueur probable. Le courage politique du président est indéniable : Beaucoup de gens qui ne peuvent plus le supporter peuvent demain avoir encore besoin de lui.

 

Hollande, ce monsieur qui est allé à la bonne école d'élite, a du charme et de l'humour, mais n'a rien fait pour dissiper l'idée qu'il est un velléitaire dans la crise. Dans un appel de campagne auprès électeurs ce mois-ci, publiée dans le quotidien Libération, il a réussi à ne pas parler du reste du monde en dehors d'une condamnation de rigueur de la « mondialisation débridée ». Ses exhortations vagues empestaient de nombrilisme moraliste.

 

Le moment est venu de raconter comment récemment Hollande, en parlant de Sarkozy, a utilisé l'expression « sale mec » (en francilien dans le texte – « environ un sale travail ». Roughly a nasty piece of work). Comment il a utilisé ce terme contesté par la suite. Ce n'est pas grave. Sa langue a donné un aperçu de son subconscient et celui d'une large bande de la bourgeoisie française. (Hollande est un bourgeois de la gauche).

 

Pour eux, Sarkozy, qui est allé à l'école du mal, ce sera pour eux toujours l'outsider, l'arriviste, l'usurpateur – un « sale » arriviste aveuglé par l'ambition, et indigne d'incarner l'État français, arrivé à la magistrature suprême VèmeRépublique. Ce n’est pas pour rien, que le français riche en mots – arriviste, parvenu – sonne pour des personnages, comme Rastignac de Balzac, qui a coupé court à travers les barrières sociales jusqu’au sommet.

 

Tant en France veulent voir le dos de Sarkozy. Ils rêvent d'un « come-uppance » pour cet homme d'agitation surnaturelle, mais pensez alors : Oh non! Non la gauche avec son indécision, ses slogans périmés, ses colossales « immobilisme » qui a quelque peu préservé la lutte des classes comme un principe où la plupart de la gauche européenne – comme l'allemand – s'est déplacé, sur des décennies auparavant.

(La gauche française a beaucoup à se reprocher. Il ne devrait pas échapper à l'attention de quiconque que la force actuelle de l'extrême droite sous la forme du Front National Marine Le Pen doit beaucoup à la migration de tous ces ex-communistes, dont l'adoration de Staline n'ont jamais fané.)

 

J'ai mentionné le courage de Nicolas Sarkozy. Je dirais que c'est ce qui fait de lui le politicien le plus intéressant en Europe. Mais avant quelques mises en garde : Quand il flatte à droite de Le Pen – le traitement déplorable des Roms, l’obstruction de la candidature de la Turquie à l'UE, la politique d'immigration toujours des plus restrictives – il est à son pire. L'ego napoléonien pouvait également devenir ennuyeux, bien que son étincelante épouse Carla Bruni l’ait freiné dans ses expressions les plus nettes.

 

En fin de compte ce qui est impardonnable dans un homme politique est l'ego et l'ambition qui permettent la cause pas de plus grand que soi. Ce n'est pas le cas avec Sarkozy. C'est un faiseur et briseur de tabous – ce qui porte la France dans le commandement intégré de l'OTAN (et donc permettant la réussite de la mission libyenne), déclarant que l'amour de l'Amérique est OK, la réforme des universités et du système de retraite contre une résistance énorme, en prenant l’initiative sur la Libye et d’autres dignes causes où Jacques Chirac et Mitterrand aurait renoncé (et où l'Allemagne n'a pas honteusement fait preuve de si peu de courage.)

 

Mais plus grande réussite de Sarkozy a été à l'égard de l'Allemagne dans la crise de l'euro. La crise est venu comme l'Allemagne s'est détourné de l'idéalisme européen – épuisé par l'effort financier de l'unification, irrité par des profiteurs Méditerranée, satisfaite par sa rédemption d’après-guerre, plus axée plus sur le gain de matière que pour les grandes causes morales (s'inclinant à Vladimir Poutine, évitant combattants de la liberté libyens). Face à tout cela, et une Angela Merkel qui l’avait l'a comparé à Mr Bean en privé, Nicolas Sarkozy ne se détourna dans une colère. Il a persévéré.

 

Mme Merkel a été, à contrecœur, persuadé eque la cause de l'Europe l'emportait sur ses citoyens euro-biles. L'effort a été hésitant, les erreurs innombrables. Mais les mouvements tranquilles et récents de la Banque centrale européenne à inonder le marché avec des euros et, en acte traité en effet comme un prêteur de dernier recours – contrairement à ce traité et en dépit de la résistance allemande prolongée – reflètent avant tout un énorme effort français pour ramener l'Allemagne autour du projet européen. Les taux d'intérêt pour les obligations espagnoles et italiennes sont en baisse, la panique recule.

 

Score un – et un gros – pour Sarkozy. Questions de leadership. »

 

http://www.nytimes.com/2012/01/24/opinion/the-sarkozy-effect.html?_r=1&scp=4&sq=cohen&st=csepour vérification et/ou amélioration de la traduction.

 

 

Stupéfiant, non ? Comment ce « grand-bonhomme » du journalisme, qui fait même des passages à Europe 1, « pige » pour quelques quotidiens nationaux de renom, voit-il notre « Ô combien vénéré Président » ?

Comme un « sorti de la cuisse de Jupiter », qui a su « plier » l’Europe entière, allemands en premier, à ses exigences, rien qu’à la force de conviction et qui ne fera donc qu’une bouchée de l’ectoplasme « François III ».

 

Franchement, quand j’ai lu son papier à la recherche du « sud-au-kul » du canard, mon occupation favorite dans les salons d’attente de « mes clients », j’ai été pris à l’estomac : On avait « Dieu-ter[1] » à la barre et on ne le savait pas ?

Décidément, je comprends nettement mieux tous « ses fats à lui », qui n’en finissent pas de chanter ses louanges ! …

 

Juste, et depuis, le passage de « Jupette », le meilleur d’entre-tous, qui est allé se friter d’énarque à énarque face à « François III » sur TF2, l’autre soir : Ma voisine était occupée alors j’en ai vu des bouts en streaming et lu quelques commentaires.

Le gusse, il est pourtant ministre des « affaires étrange-aires » en exercice, suppôt se disant convaincu du succès de « bling-bling-gigantesque ».

Et plusieurs fois, je l’ai ouï dire « quand vous serez président… » à son interlocuteur.

Et pas une fois lui raconter, nous raconter, que l’autre « grand-méchant-mou » dit des konneries irréalistes.

Quand même curieux, non ?

 

Eh bien effectivement, depuis « le plan » se dessine de plus en plus nettement : Ils feront appel « à l’arbitre » !

J’ai nommé « Bébé-roux » : Un futur-cocu, si ça roule de la sorte.

Seraient encore capables de nous le refourguer à la Mairie de Paris, ces tordus du tapis-vert.

Va falloir se méfier…

 

Bref, je vous avais promis (je ne sais plus quand, ni à qui, ni à quelle occasion) de vous retrouver cet article, parce que s’y dessine effectivement des soutiens inattendus venus d’outre-manche : C’est fait !



[1] Dieu, c’est Dieu. L’unique. On a eu « Dieu-bis », le maître du Verbe, celui qui nous a tout fait avaler au point qu’on l’a renouvelé « tous ensemble » dans son mandat, à savoir « Mythe-errant ». « Bling-bling » est donc « Dieu-ter » !

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 05:19

J’ai failli en choir quand même !

 

L’autre fois, toujours à rechercher d’improbabilités diverses sur la toile, affamé de connaissances approfondies tellement j’ai été sevré trop tôt à « l’ékole-publik », je lis (… enfin soyons sérieux : Je ne sais pas lire, ils ne m’ont pas appris, mais j’ai des « machines » qui lisent, écrivent et comptent à ma place ! Merci infiniment à Bill Gates) je ne sais quelle initiative du « Rose-Lyne-Bâche-l’eau » dite aussi le « pompon-rose », en charge du ministère des Solidarités de « Gauloisie aphrodisiaque », aurait annoncé mardi dernier (y’a une semaine donc) avoir demandé au Premier ministre « Fifi XIV », avant qu’il ne soit renvoyé pour ne pas avoir arrêté de dire des konneries pendant 5 ans, la suppression du terme « Mademoiselle » dans les documents administratifs.

Et ce au nom de l’égalité entre les sexes.

Tiens donc ?

Les 21 cm et 75 grammes de différences naturelles sont devenues une « horreur » sémantique ?

Yes : À bas les « gay-pride » quand elles sont trop bruyantes et trop indécentes, jusqu’à l’écœurement !

 

Argutie avancée : « Demander à une femme de préciser « madame » ou « mademoiselle » constitue une discrimination puisqu’on l’invite à présenter son état de femme mariée ou célibataire », explique la ministre.

Oui et alors ?

Quoique… C’est parfois revendiqué, comme d’une qualité d’indépendance apprise à « l’ékole-des-femmes » ou d’un reproche à l’égard des paternels de leur marmaille… au choix.

« Si on demandait sur un formulaire à un homme s’il faut l’appeler « monsieur » ou « mon damoiseau », évidemment on serait à égalité ».

Exact…

Juste une question : Est-ce une urgence intempestive du moment ?

 

Bref, dès après-demain, parce que « Rose-Lyne » l’aura décrété dans la tourmente financière, les administrations, quand elle ne sera plus là et qu’elles vous demanderont néanmoins votre identité et autres billevesées pour mieux vous « cerner », elles seront priées de retirer de leurs formulaires la mention « à cocher », dite des « civilités », de « Mademoiselle » !

Scié !

On aura quand même le droit de mettre Madame ou Monsieur.

Mais plus damoiselle !

Et moi de penser que « Damoiseau », pour les puceaux, finalement, ce n’est pas plus mal !

 

En effet, « Monsieur », c’est un diminutif de « Mon Seigneur » ou « Mon Sieur ».

Sachant ça, gamin, le premier qui m’a affublé de la qualité de Seigneur (le sien, je ne crois pas), il m’a fait vieillir promptement : Je ne suis le « Seigneur » de personne (même pas moi-même : Tout juste l’esclave de mon unique neurone, celui du nerf honteux), mais pour être aussi « Corsu », chez nous on dit « Sgio » (prononcer « jo », SVP).

Comme quoi, la langue continentale du « francilien natif » des colonisés des Corsi, elle ne s’adapte pas à tout.

D’autant qu’il paraît que « Monseigneur » est d’usage réservé aux évêques de la papauté des « papistes ».

Alors, si c’est vrai que parmi mes ancêtres j’ai bien des évêques, des comtes et des marquis, d’une époque où ces « titres » était démocratiquement attribués par élection du peuple (et autres manants) en l’Île-de-Beauté pour les représentations auprès des grands de ce monde, perdu à jamais sur le continent, je ne me sens pas pour autant « héritier » des chefs de curés…

« Monsieur » me convient très bien, car plus puceau depuis des années, je connais presque tout des corps-à-corps somptueux et sensuels d’avec les dames, qu’elles fussent « Ma Dame », devenu parfois ex-pucelle de « demoiselle » par mes œuvres acharnées, ou « sa dame », voire « leurs dames » !

Et elles ont toute aimé ça au moins une fois…

(Sauf « ma nichée », ma mère, ma sœur, et quelques « cousines » trop konnes pour que j’aille y perdre de ma substantifique substance !)

 

Toute une poésie qui se barre : Ce « genre demoiselle » est prié de ne plus exister !

Exit : La sortie, vers demain, c’est là-bas, dans le passé de la langue de « Gauloisie linguistique »…

C’était pourtant joli, « damoiselle », « mademoiselle », « made-moi-z’elle », « ma demoiselle »… Mes damoiselles : Je vous aime !

Toutes !

Mes demoiselles, ta demoiselle, sa demoiselle, notre demoiselle de la garde, votre ou leur demoiselle !

Moi, j’aimais bien… Même les « moches », les « grosses », les maigres, les grandes, les petites et celle à furoncles.

 

D’accord, on m’a rarement appelé « damoiseau-Ignoble », mais quand même…

Au moins, c’était une époque où j’avais encore la tronche d’un puceau (avec les boutons et imberbe du poil au menton, y’a vraiment très longtemps de ça) et il faut dire que j’appelais toujours les « dames » « ma-Dame »…

Quelques claques à l’amour-propre plus tard, j’ai appris à regarder l’annulaire gauche des dames pour pouvoir les qualifier correctement, tellement je me faisais rabrouer par des « Mademoiselle » rageurs lancés en réplique…

Poli, je n’y ai jamais mis le doigt pour vérifier, mais…

Quand la revendicatrice était jolie (ou moche, c’est pareil), si elle avait l’âge putatif pour porter « foufounette-sur-pubis », je lui faisais le coup du : « Ah bon ? » l’air très étonné : « Comment ce fait-ce, avec un si joli sourire tel que le vôtre ? »

Sous-entendu une erreur de casting ou un caractère de cochon (porte de prison ou frigidaire-congélateur, au choix) !

Mais chacune de rougir (ou rosir) sous le compliment…

Sauf la « Bâche-l’eau », manifestement…

En fait, je ne sais pas : J’ai évité de la rencontrer jusque-là !

 

D’autant, qu’à la longue, j’ai fini par rencontrer des « demoiselles » revendicatrices entourées et assaillies par leur propre marmaille : Difficile pour elles de revendiquer une qualité de pucelle perdue depuis longtemps…

Pour avoir subi les derniers hommages avant les premiers outrages… du temps et que de s’être reproduites dans de mâles émois !

Ah, les joies de la chaleur-humaine… partagée !

 

Désormais, je leur expliquerai que la loi interdit la revendication de la qualité, non plus de pucelle, mais de femme « non-mariée »… et du substantif réservé à cet état !

« Pacsée », je ne sais pas : Pourra-t-on continuer à les qualifier de « non-Madame » ?

« Concubinée » aussi ?

Et les « polyandriques-assumées », même éphémère, on fera comment ?

« Catin » ou simplement « Garce » ?

 

Dire qu’une demoiselle, dans le temps et depuis toujours, quand elle se revendiquait comme telle, c’était pour signifier que son cœur et son corps était à prendre en de sauvages et désespérés assauts romantiques et échevelés…

 

Et quand elle vous jetait du « Madame », comme d’un reproche, c’est qu’elle souhaitait que vous gardiez une « certaine distance », sous-entendu : « J’ai dans mon pieu un mari jaloux et violent, qui est aussi chef de la police et qui est en plus ceinture noire de karaté… »

Donc, pas touche !

Ou alors gare : « Faut vraiment que tu en vailles la peine pour que je t’accorde quelques faveurs… » (genre : T’es général de la police et tellement gros que si tu éternues devant mon mek, il va aller s’exploser sur les peintures du plafond ! Non mais !)

Eh bien, tout ça, c’est terminé !

 

Ce qui reste le plus drôle, dans la « chasse aux discriminations », c’est la suite à venir : Pourquoi appeler un monsieur, « Monsieur » et une dame « Madame » ?

1 – Ne vaut-il pas mieux dire « Sieur », sans « possessif », et « Dame » ?

2 – Ou faire comme les anglais : « The », sans « genre » assumé ?

On dira « Chose » : Une chose, un chose ?

Au moins les allemands – comme les antiques et sans doute d’autres – ils ont à côté des genres masculins et féminins attachés à toutes « choses » (Der, Die) le « Das » neutre…

« Das chose » !

J’y viens : Il m’arrive de dire « Machin » ou « Machine » pour une personne dont je ne me souviens plus du nom sur le moment…

On va aller loin, avec ce genre de « non-discrimination ».

 

Jusqu’à interdire les couleurs roses et bleues pour reconnaître des « kouillus » des « poulies fendues » dans les maternités ?

Tout le monde en violet…

Ah bé oui, mais il y a aussi le mauve, le fuchsia et mille tons entre les trois…

Je ne te raconte déjà pas les bébés habillés en vert, avec des antennes sur la tête !

Et dire que vendredi prochain, on fête les « Catherinettes » de jaune et de vert costumées pour rappeler leur état de « femme-non-mariées »…

À contre-courant total d’avec l’équipe à « Bling-bling » !

 

Bref, en cette fin de règne, c’est quand même hallucinant ce que les « poètes-ministériels » sont capables d’inventer pour qu’on parle encore un peu d’eux : Serait-ce leur « assurance-survie » pour le « monde d’après » qui chauffe sous nos yeux ?

Ils n’auront même pas le droit de faire partie de mes souvenirs sereins, demain !

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 04:51

Les bonnes pages officielles de son « blog-officiel »

 

C’est donc « Fifi XIV », le futur maire parachuté des « parigots » qui vient te causer des 10 ans la la LOLF (Loi Organique relatives aux Lois de Finances), dans laquelle personne n’avait pensé à y glisser une « Règle d’Or », sous les ors du palais de l’Assemblée Nationale, jeudi avant-dernier.

En fait, je cherchais le « streaming » de l’interview de Cannes de « Baraque-Au-Bas-Mât » et de notre « Ô combien vénéré Président » (que j’ai loupé la faute à la voisine en déplacement chez un de ses amants).

Internet, c’est comme le reste : Vous cherchez un « truc », vous en trouvez un autre…

 

« Monsieur le Président de l’Assemblé nationale, Monsieur le Premier Président, Mesdames et Messieurs, » (je vous passe les condoléances habituelles à l’adresse du ban…)

(…)

Gérer avec rigueur nos finances c’est plus que jamais vouloir rester maître de notre avenir politique, économique mais aussi social parce que je ne dissocie pas la solidarité de la maîtrise de nos finances publiques.

Nous sentons tous le poids de l’héritage laissé par des décennies de gestion laxiste. »

Là, j’ai failli éclater de rire : Il en a fait une bonne moitié, d’une de « décennies de gestion »…

 

« Je dis « tous », parce que nous sommes tous responsables, à droite comme à gauche, d’avoir laissé filer les déficits. Par imprévoyance, par facilité, nous avons choisi de vivre à crédit plutôt que d’ajuster nos dépenses à nos moyens réels. »

C’est le moins qu’on puisse dire…

 

« Le déficit, la dette c’est, en quelque sorte, la drogue des États qui ont peur de se moderniser. »

Belle parole « historique » d’un drogué à la drogue à accoutumance !

 

« Notre budget est en déficit depuis 1975 et ce déficit doit être progressivement ramené à zéro, comme nous nous y sommes engagés pour 2016. Et pour y parvenir, nos dépenses doivent être diminuées. »

Où ça ?

Dans les indemnités des élus et ministres ?

 

« Si nous dépensions comme les autres pays européens, c'est-à-dire un peu moins de la moitié de notre richesse nationale, nous serions aujourd’hui en excédent budgétaire ! 

 

Pour la première fois depuis 1945, le budget 2012 verra les dépenses de l’État baisser. Et pour la première fois également, la masse salariale de l’État va diminuer. C’est en cela que le projet de budget 2012 marque une rupture avec les habitudes du passé. Lorsque j’ai utilisé cette formule « pour la première fois depuis 1945 », j’ai vu que tous les commentateurs se disaient « mais pour qui il se prend, qu’est-ce qui lui arrive ? ».

Pardon, mais depuis 1945, jamais les dépenses de l’État n’ont baissé. Il y a eu des Premiers ministres qui ont défendu des budgets de rigueur, qui étaient des budgets de rigueur parce qu’il y avait une augmentation forte des prélèvements obligatoires pour financer l’augmentation des dépenses publiques, mais un budget avec les dépenses de l’État en baisse, il n’y en a pas eu depuis cette date. Alors on me dit que ce n’est pas assez, c’est sûrement vrai mais c’est quand même la première fois, c’est donc que ça doit être assez difficile. »

Si seulement ça pouvait être vrai…

Mais notez qu’en 45, vous n’étiez pas nés, moi non plus mais je me souviens, le budget était nul : Il ne pouvait qu’augmenter, aussi !

 

(…)

« Pour revenir au sujet de la LOLF, je veux rappeler ce matin avec vous son triple apport.

 

La LOLF a d'abord permis de responsabiliser les gestionnaires.

La globalisation des crédits à l'échelle des programmes leur a donné les moyens d'effectuer les arbitrages les plus pertinents pour l'affectation de leurs crédits, sans qu'il soit nécessaire pour eux de demander à chaque instant les autorisations qui bridaient autrefois leur action.

L'introduction d'une comptabilité en droits constatés, -assortie de la certification mise en œuvre par la Cour des Comptes- participe aussi à cette logique de responsabilisation. Cette dynamique doit encore être amplifiée, s'agissant du déploiement de la comptabilité analytique pour venir en appui aux efforts de modernisation de la gestion.

 

La loi organique de 2001 est également un outil au service de la démocratie.

Elle implique une meilleure lisibilité de l'action publique en nous imposant de structurer l'action de l'État en missions et en programmes, dont les contours sont parfois discutés, mais qui sont un progrès considérable par rapport au maquis d'autrefois.

 

Elle a surtout favorisé un élargissement considérable des capacités d'intervention du Parlement.

Celui-ci a été investi de pouvoirs renforcés, tant au stade de la discussion qu'à celui du contrôle de l'exécution des lois de finances. Je pense en particulier au droit des commissions des finances, désormais de saisir la Cour des comptes.

 

La LOLF a enfin introduit la logique de performance et d'évaluation au cœur de notre nouveau cadre budgétaire. Chaque programme budgétaire porte des objectifs et des indicatifs de performance qui doivent guider le suivi de nos politiques publiques. »

Bé… Y’a encore du travail à fournir.

 

 

« Ce nouveau cadre organique de 2001 a également eu une sorte de deuxième vie, en irrigant la gestion publique de deux prolongements logiques.

Le premier concerne ceux que l'on appelle « les opérateurs ».

La LOLF a introduit cette notion en obligeant tout d'abord, et c'était une nouveauté en 2006, au recensement des emplois rémunérés par les organismes bénéficiaires d'une subvention pour charge de service public.

La LOLF réserve aussi à la loi de finances la capacité d'affecter à un tiers une recette existante de l'État, et elle institue un recensement annuel, à l'occasion du projet de loi de finances, des taxes affectées à des tiers.

Depuis lors, les progrès ont été constants, d’une part, dans le recensement des moyens affectés aux opérateurs, quelle qu’en soit l’origine ; et d’autre part, pour inscrire ces ressources dans une logique de performance. »

Un progrès ? Où ça, où ça ?

Perso, je n’ai vu qu’une procédure de plus pour « contraindre le vote » des Lois de finances : Un grand classiques pour « embrouiller ».

Style : « On ne peut pas voter ça parce que telle chose déjà votée l’en empêche ! »

Mais on peut faire telle autre parce que si, parce que ça…

  

(…)

« Deuxième prolongement logique, la LOLF a facilité la réforme de l’administration territoriale de l’État. La régionalisation autour d’un échelon régional ministériel de pilotage, et d’un échelon départemental interministériel de mise en œuvre, vise fondamentalement à renforcer le pilotage des politiques gouvernementales et leur adaptation aux territoires.

(…)

Nous devons cependant rester vigilants pour que la mise en œuvre de ce chantier se traduise effectivement par une diffusion de la logique de politiques publiques portées par la LOLF. Je suis convaincu que cette culture n’est pas, contrairement à ce que j’entends souvent dire, source de contradictions, mais au contraire de synergie avec un pilotage interministériel très fort à l’échelon local. »

Arf !

 

(…)  

« La LOLF a donc représenté une avancée décisive pour la gestion de nos finances publiques.

Sa mise en œuvre dans la pratique ne s’est cependant pas avérée exempte de difficultés. Vos constations le démontrent sans fard, et c’est pourquoi le travail de suivi de l’application de la LOLF est essentiel (…) »

Faudrait savoir alors, non : C’est bien après dix ans ou on en est encore au « milieu de rien » ?

  

« Il serait cependant très excessif de jeter un regard négatif sur ces dix années écoulées. Personne aujourd’hui ne songerait d’ailleurs à revenir à l’ordonnance organique de 1959 qui régissait nos finances publiques jusqu’en 2006. »

Elle avait pourtant le mérite d’être simple et « adaptables » à tous les cas de figure…

Mais bon, fallait avoir suivi les cours de finances publiques à la fac de droit, plutôt que de les sécher !

 

(…)

« L’ambition qui animait la réforme de 2001 me semble aujourd’hui menacée par deux écueils.

Le premier d’entre eux c’est bien sûr le risque qu’un écart se creuse entre le cadre budgétaire qui fixe des principes et des règles, et la pratique observée. Il ne servirait en effet à pas grand-chose que la France fabrique des lois organiques dont on célèbre les anniversaires si dans le même temps ses finances publiques n’étaient pas maîtrisées.

La LOLF a offert de nouveaux outils pour atteindre cet objectif de maîtrise. La loi organique nous oblige à une formulation plus claire des grands axes des politiques publiques et à une plus grande transparence. Cette meilleure information sur l’utilisation des deniers publics est absolument essentielle pour les choix budgétaires, qu’ils soient réalisés au niveau national par le Gouvernement et le Parlement ou au niveau des gestionnaires. Et aujourd’hui, ces choix budgétaires sont cruciaux.

Il nous faut trouver plus de 100 milliards d’euros d’ici à 2016 pour revenir à l’équilibre des finances publiques. »

Perso, j’avais compté plus du double…

Pas plus tard que mercredi dernier !

 

« J’ai dit, lundi, notre effort porte pour plus de la moitié sur les dépenses et il permettra de faire baisser de trois points la part des dépenses publiques dans le PIB. Cette part des dépenses publiques dans le PIB nous l’avons déjà baissée de 0,3 point entre 2010 et 2011. »

Pipi de chat par temps d’orage…

 

(…)

« Le second risque que je voudrais évoquer pour l’avenir porte sur le fameux esprit de la LOLF.

La force véritable de cet esprit c’était le consensus républicain le plus large possible. Il ne s’agissait pas d’un consensus mou, il s’agissait d’un consensus d’action, de la modernisation de notre pays.

Bernard Accoyer s’en souvient, notre représentation nationale avait alors fait la démonstration de sa capacité à trouver le sens de l’intérêt général. Les ministres chargés du Budget et des comptes publics venus d’horizons politiques différents - Laurent Fabius, à l’origine au moment de la réflexion sur la LOLF, Jean-François Copé, qui avait eu la difficile tâche d’essuyer les plâtres de sa mise en œuvre - avaient su s’inscrire résolument dans cette démarche. Eh bien, cet esprit de la LOLF ne doit pas disparaître. Pierre Joxe, alors premier Président de la Cour des comptes parlait, je le cite, de « conjonction astrale favorable » pour décrire ce consensus. »

Et vas-y que je traîne les uns dans la boue et que j’en brosse d’autres dans le sens du poil : Quest-ce que ça vient faire-là ?

 

« Sur un sujet aussi fondamental que la bonne gestion des finances publiques, nous devrions savoir transcender les clivages politiques et je pense ici au débat sur l’introduction de la « règle d’or ». »

Nous y voilà !

 

(…)

« Les dirigeants européens ont fixé le cap de son adoption partout en Europe dès 2012.

La France a su créer les conditions de la révolution copernicienne qu’a été la LOLF.

Eh bien, elle devrait faire de même sur la règle d’or, je veux dire sans autre forme de précaution que je regrette le refus de l’opposition de soutenir le projet de révision constitutionnelle pourtant directement issu des travaux consensuels de la commission Camdessus.

Je pense que dans la crise profonde que traverse en particulier la zone euro, ce serait un signe extrêmement fort de la volonté de toutes les forces politiques de notre pays d’atteindre l’objectif de déficit zéro qui constitue de mon point de vie le meilleur programme électoral pour les élections de 2012, parce que c’est la meilleure façon de protéger les Français, de protéger notre mode de vie, de protéger d’une certaine façon le modèle social auquel nous sommes tellement attachés. »

Bon alors, pourquoi ne pas l’avoir imposée dès les premiers mois du quinquennat ?

Pourquoi attendre le dernier moment ?

 

(…)

Blablabla : Condoléances et fermez le ban !

         

Et il veut que j’aille « coller ses affiches » en 2014 ?

Mais tout le monde l’aura oublié, d’ici-là !

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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 23:08

Après tout, c’est 14 juillet !

 

Et quand on ne veut pas m’entendre, pour ne m’avoir pas invité aux agapes festives du moment sous les ors des salons de MA République, on me lit.

C’est qu’il se trouve que la « déneuronisation » de nos « chères têtes blondes » nous concerne tous, finalement et commence à m’agacer personnellement.

 

Passe qu’on veuille réécrire l’Histoire des générations passées au filtre des « dogmes dominants ».

Quoique…

Ça relève quand même du hold-up sur la mémoire collective, de l’escroquerie sur la neutralité de l’enseignement, de la mainmise dogmatique et politique sur des jeunes esprits en formation.

 

Passe aussi qu’on remplace par des patates les règles de la géométrie ou des mathématiques appliquées.

Quoique que là encore…

Quand on finit par être repoussé par l’algèbre, les statistiques et encore bien d’autres, ne forme-t-on pas sciemment des nains du neurone ?

 

Passe toujours qu’on allège les règles du langage, de l’orthographe, de la grammaire, pour protéger la « libre formation des esprits », qu’on abandonne l’expression écrite au profit de l’oralité quand il s’agit d’enseigner une langue étrangère, pour viser l’efficience pragmatique.

Quoique…

Quand on n’aura plus que des illettrés sous la main, qui ne saurant rien de la « bonne place de la virgule » (qui peut changer le sens d’une phrase), qui nous plongerons dans des abysses de sottises contradictoires pour une participe passé mal accordé, ou une traduction rendue incompréhensible, voire nous laisserons cois devant une double négation dans la même phrase, on aura vraiment l’air fin…

 

Passe également qu’on enseigne en économie générale des théories obsolètes, qui ont montré et démontré que leurs limites, qui restent incapables de décrire notre « univers de laborieux » sans l’expliquer vraiment et qui se retrouvent à n’être jamais prédictives mais toujours « tordues » pour donner une signification à peu près logique aux évènements marquant passés, et même très récents, je veux bien.

Quoique…

De faire, à la chaîne, des électeurs complètement perdus, qui gobent n’importe quelle ânerie qui n’aura plus cours le lendemain matin, si ça satisfait quelques égos hypertrophiés de suffisance, on n’est quand même pas prêt à se sortir collectivement du boxon dans lequel ces mêmes théoriciens nous ont plongé et persistent à nous maintenir coûte que coûte.

 

Pour tous ceux-là, j’ai toujours pensé que cette ignorance-crasse qu’ils développent devant leurs « apprenants » (on ne dit plus élève à élever ou étudiants à étudier), n’était jamais que le reflet de leur propre incommensurable incompétence se révélant à la lumière crue de leur propre intolérance à faire face au bon sens.

Passons une dernière fois…

 

Mais voilà aussi qu’on veut te nous imposer, jusque dans les manuels de Sciences de la vie et de la Terre, des théories pour le moins bouleversantes, notamment, la « théorie du genre » comme seule référence scientifique pour comprendre l’univers qui nous entoure, là, j’ai le hoquet au neurone (et je n’en ai qu’un qui fonctionne encore et pas tout le temps : Celui du nerf honteux).

Qu’on étudie cette « découverte scientifique récente » au cours de l’enseignement supérieur de philosophie ou de sociologie, pour mieux en connaître les limites, là je veux bien.

Mais en première comme unique explication d’un tout qui dépasse l’entendement et le bon sens, là, c’est vraiment très osé.

Ce n’est même plus de l’incompétence délictueuse commise par des fonctionnaires dans l’exercice de leur fonction, mais carrément d’un crime dogmatique commis par les mêmes dans les mêmes fonctions !

Pol-Pot en rêvait, notre ministre de l’intelligence et de l’éducation l’a fait !

 

Car je lis dans le manuel de chez « machette & AK 47 » (du groupe « La-Garde-Air » et autre marchand d’armes) acheté en avance pour « ma nichée » et ses devoirs de vacances estivales que : « Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n’est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin.

Cette identité sexuelle, construite tout au long de notre vie, dans une interaction constante entre le biologique et le contexte socio-culturel, est pourtant décisive dans notre positionnement par rapport à l’autre.

Devenir un individu sexué fait partie intégrante de la construction identitaire. »

 

Or, j’avais noté par ailleurs, que « jusqu’à ce jour, la France avait été épargnée par l’enseignement de la « théorie du Gender ». Mais que l’enseignement de cette « discipline » entre par la grande porte : À partir de 2011, des cours obligatoires lui seront consacrée à Sciences Po, l’Institut d’Études Politiques de Paris. (IEP Paris) » constatait Elizabeth Montfort dans son article intitulé « De l’identité biologique à l’identité sociologique ou comment déconstruire les structures fondamentales de la société »

 

De quoi s’agit-il ? Tout part de deux femmes, économistes de l’OFCE, soutenues par Jean-Paul Fitoussi, président de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et par Emmanuelle Latour de l’Observatoire de la parité créé en 1995.

Celles-ci déclarent qu’il faut en finir avec l’inégalité entre les hommes et les femmes dans l’entreprise. Bien !

Pour les promoteurs de l’opération, le but est éminemment politique : « On veut faire progresser le combat contre les inégalités entre hommes et femmes. »

Mais je veux, mon n’veu : Je serai parmi les premiers à leur apprendre à ranger le lave-vaisselle correctement, à conduire mon chariot, si je pouvais, à leur faire faire leur déclaration d’impôt et de TVA correctement aussi, si je pouvais !

Et tant d’autres choses encore qu’elles ignorent parfois superbement comme autant de « futilités masculines inutiles ».

Moi, sans les femmes, je ne peux pas vivre, mon unique neurone en état de fonctionnement (celui du nerf honteux, et encore, pas tout le temps) en perdrait toute son acuité

Encore faudrait-il savoir sur quoi se fonde cette égalité, dont nous rappelons que pour l’heure elle n’est que juridique (et qu’on a bien du mal, d’ailleurs et pas seulement pour des raisons sexuelles, ni de couleur d’épiderme).

 

Or, on part d’une réflexion identitaire : Les « Queer et gender »

Grâce à l’évènement initiatique baptisé « Queerweek » (La semaine « queer ») de Sciences Po, lancée du 3 au 6 mai 2010 comme une avant-première des « Gender-studies », il s’agit bien d’une étude centrée sur une réflexion identitaire. Le programme de cette Semaine queer – « semaine du genre et des sexualités » – est particulièrement explicite !

Le postulat promu est le suivant : L’individu postmoderne ne se reconnaîtrait plus dans la société « hétéro-sexiste ».

La différence des sexes est une dictature puisqu’elle est imposée par la nature. Pour être libre, l’individu devrait  pouvoir se choisir.

Cela lui permettrait d’exercer son droit le plus fondamental : « le droit à être moi », de se choisir en permanence alors que la nature impose d’être un homme ou une femme.

Les théoriciennes du queer pensent que l’individu serait mieux caractérisé par son orientation sexuelle que par son identité sexuelle, fondée sur une donnée biologique forcément non choisie.

Elles estiment que se considérer comme homme ou femme en se fondant sur une réalité biologique, c’est refuser de se construire soi-même…

Des refoulées mal baisées ? Pas plus que ça…tout de même !

 

« Il serait tentant de chercher une définition du queer. Si, précisément, il n’y en a pas, c’est en raison du caractère subversif de cette théorie, comme l’affirment ses promoteurs ».

Donner une définition, c’est fixer une idée ou un objectif.

Dans ce concept, rien n’est fixé.

On peut dire qu’il s’agit d’un « mouvement subversif » dont l’objectif est de reformuler les rapports homme/femme dans la société, non plus en fonction de leur identité masculine ou féminine, mais en fonction de leur volonté et de leurs désirs souverains.

L’identité ne serait plus biologique, mais sociale.

Autre postulat néo-déterministe à rebours…

D’une certaine manière, la « théorie Queer » prolonge ainsi la « théorie du Gender », ce concept apparu au Sommet de Pékin en 1995, sous l’effet de groupes de pression de féministes radicales.

D’ailleurs, pendant que l’IEP lançait cette initiative, Judith Butler en personne intervenait à Lyon à l’invitation du maire pour présenter la théorie dont elle est l’une des figures marquantes.

Publié aux États-Unis dans les années soixante-dix, c’est seulement en 2005 que son livre de référence est traduit en français : « Trouble dans le genre. Pour un féminisme de la subversion » (Ed La Découverte).

Et c’est ça qu’on enseigne à des gamins de 15/16 ans comme d’une « science » ?

 

Pour elle, si le « gender » consiste à définir une politique féministe qui ne soit pas fondée sur l’identité féminine, le « queer » déconstruit l’identité de toute personne humaine en vue de se reconstruire à partir du seul choix individuel.

Judith Butler s’appuie sur les idéologies du XIXèmeet XXèmesiècle néo-marxiste, existentialiste et structuraliste pour penser « le féminisme et la subversion de l’identité ».

Le féminisme initial adhère à l’idée que l’identité sexuelle et le genre coïncident, mais ce lien sera progressivement remis en cause par les « gender feminists » qui considèrent que la frontière entre le masculin et le féminin est parfois floue mais que la société profite de ces différences pour imposer un rôle et des stéréotypes : la femme aux tâches ménagères, l’homme à l’extérieur.

Et inversement ? Jamais ?

Elles prétendent que la revendication de l’égalité homme/femme suppose une différence entre les sexes.

Or, selon elles, la différence construit l’inégalité et donc la domination de l’homme sur la femme.

Elles ne connaissent pas ma mère, celles-là, « Ô ma Mère ! »

 

Ce qui fait dire à Judith Butler que la définition classique du genre, fondée sur le sexe biologique, est une construction sociale et culturelle au service de la domination de l’homme sur la femme. Sa proposition : s’affranchir tout simplement de la nature ! Et pas du tout l’inverse…

Pour sortir de l’oppression, il est nécessaire de déconstruire le genre, la famille et la reproduction !

J’admire le sophisme : Un grand classique ! Je te confonds allègrement les causes et les conséquences à travers un discours mental élaboré mais « brumeux », tel que ça puisse paraître lumineux aux « petits-jeunes » de 15/16 ans qui n’y connaissent finalement pas grand-chose, et le tour est joué…

 

Le genre. Les « gender-feminists » considèrent que la différence sexuelle de l’homme et de la femme n’est pas déterminante, sauf à maintenir la domination de l’homme. (Ça s’emboite bien, pourtant…Mais peut-être pas chez elles, après tout !)

Or, le mot « sexe » fait référence aux caractéristiques biologiques, manifestant ainsi une différence innée entre l’homme et la femme (comment dire le contraire ?).

Il faut donc, pour elles, le remplacer par le terme  de « genre » qui renvoie aux comportements et aux rôles plutôt qu’au sexe, annihilant par ce moyen l’existence de différences, à l’origine des inégalités.

À partir de cette rupture sémantique, une théorie va être élaborée.

(Personnellement, je parlerai bien de « castration », mais bon, hein…)

 

Nos théoriciennes prétendent que l’être humain, à la naissance, est « neutre ».

Là, je demande à voir : Il n’y a que deux cases possible à l’état-civil.

Ce serait le milieu culturel qui imposerait un rôle féminin ou masculin pour maintenir la femme dans un rôle d’esclave.

D’où l’idée de remplacer l’identité sexuelle par les orientations sexuelles variées et choisies par chaque individu.

Chacun s’invente son genre qui peut évoluer au cours de la vie.

Ainsi il n’y a plus de barrière entre ce qui est permis et ce qui est interdit.

Ce que je choisis est permis, puisque je l’ai choisi.

Et en plus je peux changer au fil du temps et inversement : Le panard !

Y’a-t-il des volontaires pour la case « esclave » au juste ?

 

La famille, en second lieu, il faut déconstruire la famille, parce que la femme y est maintenue en esclavage et qu’elle conditionne les enfants à accepter le mariage et la féminité comme naturels.

La nouvelle famille doit être polymorphe (recomposée, monoparentale, homoparentale,...), bref : Choisie et re-choisie en permanence.

 

La maternité enfin, après la famille et le genre, la reproduction doit également être déconstruite pour être choisie : L’enfant ne se reçoit pas, il se désire, il se programme, il se contractualise.

Pour sortir des contraintes, la femme doit recourir à la technique : « Les mères porteuses, l’utérus artificiel ont pour objectif la libération des femmes des contraintes corporelles. C’est le fantasme de la désincarnation, se détacher de sa part naturelle. »

Là encore, l’UA, si c’est un fantasme de femmes qui ne savent pas jouir de leurs sens, demain ce sera une technologie pour cloner des meks à ne plus savoir où les mettre…

Une civilisation d’eunuque ou d’homo, c’est ce que nous promettent ces technologies, non ?

 

Ainsi, la « théorie du gender » déconstruit l’identité féminine, celle nos femmes bien aimée.

Plus de différence sexuelle, plus d’inégalité : « Les femmes ne seraient pas opprimées s’il n’existait pas un concept de femme. En finir avec le genre, c’est en finir avec le patriarcat ! »

Ouais, ouais, oauis ! Que des meks et des eunuques !

La déconstruction du genre consiste donc à minimiser l’identité sexuelle biologique (masculine ou féminine) pour ne garder que l’identité sexuelle sociologique, c'est-à-dire l’orientation sexuelle.

 

Applications des « gender studies » : Des nouveaux couples, de nouvelles familles ! Homoparentalité, adoption d’enfants par des couples de même sexe, adoption de nouvelles normes fondées sur une sexualité choisie… la « théorie du gender » permet de mieux comprendre les revendications du « lobby gay » car elle vient appuyer la reconnaissance normative de l’homosexualité  pour imposer de nouveaux modèles de couple et de filiation.

Ce que je ne comprends toujours pas, c’est qu’on continue de parler de couple…

Et les orgies romaines ? Et les zouks ? Et les tournantes, alors ?

Sans compter tous les branleurs qui n’en fichent pas une à trainasser dans nos rues…

 

A) Le « droit au mariage ». Le droit devrait reconnaître toute forme d’union : homo-, hétéro-,  bi-, pluri-,… Il serait ouvert un seul type de contrat fondé sur le « droit au mariage » destiné à tous les individus, quelles que soient les circonstances !

Un bel avenir : Moi, je vote pour la polygamie assumée !

Que des femmes tout autour de moi et que des « folles de mon corps » !

 

Mais, il faut rappeler que, d’une part, le choix individuel d’une forme de vie relève de la vie privée et que, d’autre part, l’universalité de la loi a pour but de garantir le bien commun.

C’est d’ailleurs le fondement de la demande d’égalité de notre République, revendiquée haut et fort par celles-là même.

Mais, l’État ne peut que reconnaître qu’une union qui assure la stabilité et la durée du point de vue social et personnel. Le socle de la société repose sur l’universalité de la différence sexuelle de l’homme et de la femme et non sur des tendances ou des orientations changeantes par nature.

Le mariage n’est pas un droit, mais un engagement entre deux personnes et une institution vis-à-vis de la société.

Il est d’ailleurs paradoxal de revendiquer le mariage sauf à vouloir l’utiliser comme norme universelle pour toute sorte d’union.

Quand même, c’est curieux pour des « libertins », non ?

 

B) La parenté et la parentalité et le « droit à l’enfant ». Le désir d’enfants, considéré comme un droit par certains, conduit à remplacer la parenté par la parentalité.

Or, la parenté unit les trois composantes de la filiation : biologique, juridique et sociale alors que la parentalité ne garde que la composante sociale, la fonction d’éduquer.

En remplaçant progressivement le terme de parenté par parentalité, on déconnecte les réalités biologiques des comportements en société, telle que l’encouragent les « gender feminists ».

Les homosexuels voient, à travers cette dialectique, un moyen de se voir reconnaître un « statut social » sur l’enfant concrétisant ainsi le « droit à l’enfant », comme d’une marchandise, un bien, un service à consommer, peut-être un peu plus durablement qu’un préservatif…

 

Ainsi, le déclare l’APGL-Association des parents gays et lesbiens : « Nous souhaitons baser le droit de la filiation sur l’éthique de la responsabilité, en valorisant l’établissement volontaire de la filiation et en fondant celle-ci sur un engagement irrévocable. »

« Un parent n’est pas nécessairement celui qui donne la vie, il est celui qui s’engage par un acte volontaire et irrévocable à être le parent. »

Irrévocable (caractère assuré par la biologie) ou seulement « durable » pour ne pas dire stable d’un point de vue « éducatif » (Je ne parle même pas « d’amour », là, puisque par définition, on est dans le « choisi » conjoncturellement, dans ce champ-là des rapports humains et… sexuels polymorphe !)

Et l’enfant a-t-il son mot à dire ?

Et l’autorité étatique n’a-t-elle pas à protéger les plus faibles contre tous les délires possibles, y compris les enfants et leur avenir ?

 

C) Adoption, AMP et mères porteuses ou « l’enfant-objet ». La reconnaissance sociale est insuffisante pour ces lobbys : Si les couples de même sexe sont capables d’éduquer des enfants, pourquoi ne pourraient-ils être parent biologique (gestation pour autrui, insémination artificielle, fécondation in vitro) alors que les techniques médicales le permettent.

D’où leur demande de recourir à l’AMP (Assistance médicale à la procréation), avec donneur, actuellement réservée aux couples de sexe différent.

Et qu’importe le nom du donneur d’ovule ou de spermatozoïde puisque, si l’on suit la « théorie du genre », la réalité biologique n’est que très secondaire.

La demande de légalisation de la GPA (gestation pour autrui) ou mères porteuses  soutenu par Élisabeth Badinter, membre du Conseil scientifique du « Gender studies » de Sciences-Po suit exactement le même raisonnement.

 

Bref, tous les moyens sont bons pour garantir le « droit à l’enfant » au mépris de l’enfant lui-même, de son identité et de sa croissance dans un cadre stable avec son père et sa mère.

La « théorie du genre » réduit l’individu à l’orientation sexuelle qu’il décide pour lui-même.

Et seulement pour lui-même.

Moi j’adore : Je suis pour la légalisation totale des harems !

Les princes de nos républiques se servent bien dans le « cheptel » à leur portée à longueur de colonnes de presse, pourquoi pas moi, ou vous, finalement ?

 

Car je ne sais plus qui disait que : « On ne semble pas remarquer que la revendication du « mariage homosexuel » ou de l’ « homoparentalité » n’a pu se formuler qu’à partir de la construction d’une fiction, de sujets de droit qui n’ont jamais existé : Les « hétérosexuels ».

C’est en posant comme une donnée réelle cette classe illusoire de sujets que la question de l’égalité des droits entre « homosexuels » et « hétérosexuels » a pu se poser.

Il s’agit cependant d’une fiction, car ce n’est pas la sexualité des individus qui a jamais fondé le mariage, ni la parenté, mais d’abord le sexe, c’est-à-dire la distinction anthropologique des hommes et des femmes. »

Ce qui n’est pas faux, n’est-ce pas !

Car en plus, elle rend encore mes vieux jours heureux.

Ça et les boissons fortes en période de disette sensuelle… On n’a que ce qu’on peut sur le moment, n’est-ce pas ?

 

La diffusion de la « théorie du gender ou du queer » ne peut que renforcer la culture de dissociation de notre société : Dissociation entre identité et comportement, entre sexualité et procréation, entre union et filiation, entre parenté et parentalité, créant autant de catégories que de cas d’espèces, dans le dessein de laisser chacun décider arbitrairement, sans règles, ni loi, ni foi, ni logique, ni estime de soi, tout juste le « goût du moment », son « appétence conjoncturelle » et égoïste.

 

Ainsi seront formés nos enfants comme d’une « science », si nous n’y prenons garde.

Alors j’écris :

 

« Monsieur le Président,

Monsieur le Premier des ministres,

Monsieur le ministre de l’éducation et de l’intelligence,

 

La réforme de la classe de Première voit l'arrivée de la « théorie du genre » ou théorie du « gender » dans les programmes et les manuels de Sciences de la Vie et de la Terre.

Or, la « théorie du genre » n’est une théorie philosophique et sociologique mais elle n’a absolument rien de scientifique.

Elle affirme que l’identité sexuelle (qui serait un concept psychologique et non biologique) est une construction culturelle relative au contexte du sujet (cf. ci-dessus).

 

Ce programme et ces manuels reflètent donc au moins 3 entorses gravissimes aux valeurs de notre École de la République :

1 – Entorse à sa mission : L’école doit former l’esprit critique selon les exigences propres de la raison. Le lycée ne saurait dicter des comportements, mais bien former des intelligences. Il ne doit pas devenir une caisse de résonance des opinions ambiantes et versatiles de la société, sous peine de fragiliser les esprits abrité derrière des motifs « pseudo-scientifiques ».

2 – Entorse à sa neutralité : En feuilletant ces manuels, on ne peut s’empêcher de se remémorer les propos d’un ancien illustre (Jules Ferry, en l’occurrence, qui doit bien se marrer à faire des loopings dans son cercueil) aux instituteurs : « Avant de proposer à vos élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s’il se trouve, à votre connaissance, un seul honnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. Si oui, abstenez-vous de le dire. »

Notre code de l’éducation exige d’ailleurs le « respect de la personnalité de l’enfant et de l’action éducative des familles » (art. L. 111-2). Dans ce domaine extraordinairement intime qu’est la sexualité, à un âge où les jeunes sortent tout juste de l’adolescence et se construisent, ces manuels constituent une grave intrusion dans leur vie privée.

3 – Entorse à La liberté : On ne peut pas obliger les professeurs de SVT à relayer un discours qui sorte du cadre scientifique.

Comment pourront-ils évaluer les élèves et les préparer aux épreuves du bac sur de telles options partisanes ?

Il est clair que la théorie du « gender » ne peut être présentée aux élèves seulement que comme un choix philosophique et non comme une réalité scientifique indiscutable qui n’a rien à faire dans un livre de SVT !

 

Aussi, je vous demande de remédier dès avant la rentrée à ce scandale avant qu’il ne soit porté par les « foules en colère » et de faire indiquer par circulaire,  ou tout autre moyen à votre portée, que seul le livre de la concurrence sera autorisé.

Pensez aussi à me rembourser ma dépense inutile sous huitaine.

Sans ça, je déduis le prix du bouquin sur ma TVA non-déductible.

 

J’ai bien conscience que mes demandes peuvent paraître outrecuidantes à vos grandeurs intellectuelles, moi qui ne suis qu’un pauvre nain de kontribuable.

Mais justement, je suis si pôvre du portefeuille et si pôvre d’esprit !

 

Vous en remerciant par avance vivement,

 

Veuillez agréez, Monsieur le ministre de l’éducation et de l’intelligence, Monsieur le Premier des ministres, Monsieur le Président, l’immensité de ma satisfaction anticipée d’électeur assidu.

 

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 04:40

Vous voulez la liste des ministres liberticides ?

 

Ils sont cinq et il suffit de lire le Journal Officiel de la République Française !

Que je cite :

 

« 

DECRET

Décret n° 2011-219 du 25 février 2011 relatif à la conservation et à la communication des données permettant d'identifier toute personne ayant contribué à la création d'un contenu mis en ligne

 

Le Premier ministre,

Sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration et de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie,

Vu le code pénal ;

Vu le code de procédure pénale ;

Vu le code des postes et des communications électroniques ;

Vu la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés ;

Vu la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 modifiée pour la confiance dans l'économie numérique, et notamment ses articles 6, 57 et 58 ;

Vu la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers, notamment son article 33 ;

Vu l'avis de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité en date du 22 novembre 2007 ;

Vu l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés en date du 20 décembre 2007 ;

Vu l'avis de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes du 13 mars 2008 ;

Le Conseil d'État (section de l'intérieur) entendu,

Décrète :

 

CHAPITRE IER : DISPOSITIONS RELATIVES AUX REQUISITIONS JUDICIAIRES PREVUES PAR LE II DE L'ARTICLE 6 DE LA LOI N° 2004 575 DU 21 JUIN 2004

Article 1 :

Les données mentionnées au II de l'article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée, que les personnes sont tenues de conserver en vertu de cette disposition, sont les suivantes :

1° Pour les personnes mentionnées au 1 du I du même article et pour chaque connexion de leurs abonnés :

a) L'identifiant de la connexion ;

b) L'identifiant attribué par ces personnes à l'abonné ;

c) L'identifiant du terminal utilisé pour la connexion lorsqu'elles y ont accès ;

d) Les dates et heure de début et de fin de la connexion ;

e) Les caractéristiques de la ligne de l'abonné ;

2° Pour les personnes mentionnées au 2 du I du même article et pour chaque opération de création :

a) L'identifiant de la connexion à l'origine de la communication ;

b) L'identifiant attribué par le système d'information au contenu, objet de l'opération ;

c) Les types de protocoles utilisés pour la connexion au service et pour le transfert des contenus ;

d) La nature de l'opération ;

e) Les date et heure de l'opération ;

f) L'identifiant utilisé par l'auteur de l'opération lorsque celui-ci l'a fourni ;

3° Pour les personnes mentionnées aux 1 et 2 du I du même article, les informations fournies lors de la souscription d'un contrat par un utilisateur ou lors de la création d'un compte :

a) Au moment de la création du compte, l'identifiant de cette connexion ;

b) Les nom et prénom ou la raison sociale ;

c) Les adresses postales associées ;

d) Les pseudonymes utilisés ;

e) Les adresses de courrier électronique ou de compte associées ;

f) Les numéros de téléphone ;

g) Le mot de passe ainsi que les données permettant de le vérifier ou de le modifier, dans leur dernière version mise à jour ;

4° Pour les personnes mentionnées aux 1 et 2 du I du même article, lorsque la souscription du contrat ou du compte est payante, les informations suivantes relatives au paiement, pour chaque opération de paiement :

a) Le type de paiement utilisé ;

b) La référence du paiement ;

c) Le montant ;

d) La date et l'heure de la transaction.

Les données mentionnées aux 3° et 4° ne doivent être conservées que dans la mesure où les personnes les collectent habituellement.

 

Article 2 :

La contribution à une création de contenu comprend les opérations portant sur :

a) Des créations initiales de contenus ;

b) Des modifications des contenus et de données liées aux contenus ;

c) Des suppressions de contenus.

 

Article 3 :

La durée de conservation des données mentionnées à l'article 1er est d'un an :

a) S'agissant des données mentionnées aux 1° et 2°, à compter du jour de la création des contenus, pour chaque opération contribuant à la création d'un contenu telle que définie à l'article 2 ;

b) S'agissant des données mentionnées au 3°, à compter du jour de la résiliation du contrat ou de la fermeture du compte ;

c) S'agissant des données mentionnées au 4°, à compter de la date d'émission de la facture ou de l'opération de paiement, pour chaque facture ou opération de paiement.

 

Article 4 :

La conservation des données mentionnées à l'article 1er est soumise aux prescriptions de la loi du 6 janvier 1978 susvisée, notamment les prescriptions prévues à l'article 34, relatives à la sécurité des informations.

Les conditions de la conservation doivent permettre une extraction dans les meilleurs délais pour répondre à une demande des autorités judiciaires.

 

CHAPITRE II : DISPOSITIONS RELATIVES AUX DEMANDES ADMINISTRATIVES PREVUES PAR LE II BIS DE L'ARTICLE 6 DE LA LOI N° 2004 575 DU 21 JUIN 2004

Article 5 :

Les agents mentionnés au premier alinéa du II bis de l'article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée sont désignés par les chefs des services de police et de gendarmerie nationales chargés des missions de prévention des actes de terrorisme, dont la liste est fixée par l'arrêté prévu à l'article 33 de la loi du 23 janvier 2006 susvisée. Ils sont habilités par le directeur général ou central dont ils relèvent.

 

Article 6 :

Les demandes de communication de données d'identification, conservées et traitées en application du II bis de l'article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée, comportent les informations suivantes :

a) Le nom, le prénom et la qualité du demandeur, ainsi que son service d'affectation et l'adresse de celui-ci ;

b) La nature des données dont la communication est demandée et, le cas échéant, la période intéressée ;

c) La motivation de la demande.

 

Article 7 :

Les demandes sont transmises à la personnalité qualifiée instituée à l'article L. 34-1-1 du code des postes et des communications électroniques.

Ces demandes ainsi que les décisions de la personnalité qualifiée sont enregistrées et conservées pendant une durée maximale d'un an dans un traitement automatisé mis en œuvre par le ministère de l'intérieur.

 

Article 8 :

Les demandes approuvées par la personnalité qualifiée sont adressées, sans les éléments mentionnés aux a et c de l'article 6, par un agent désigné dans les conditions prévues à l'article 5 aux personnes mentionnées aux 1 et 2 du I de l'article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée, lesquelles transmettent sans délai les données demandées à l'auteur de la demande.

Les transmissions prévues à l'alinéa précédent sont effectuées selon des modalités assurant leur sécurité, leur intégrité et leur suivi, définies par une convention conclue avec le prestataire concerné ou, à défaut, par un arrêté conjoint du ministre de l'intérieur et du ministre chargé de l'industrie.

Les données fournies par les personnes mentionnées aux 1 et 2 du I de l'article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée sont enregistrées et conservées pendant une durée maximale de trois ans dans des traitements automatisés mis en œuvre par le ministère de l'intérieur et le ministère de la défense.

 

Article 9 :

Une copie de chaque demande est transmise, dans un délai de sept jours à compter de l'approbation de la personnalité qualifiée, à la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité. Un arrêté du ministre de l'intérieur, pris après avis de celle-ci, définit les modalités de cette transmission.

La commission peut, en outre, à tout moment, avoir accès aux données enregistrées dans les traitements automatisés mentionnés aux articles 7 et 8. Elle peut également demander des éclaircissements sur la motivation des demandes approuvées par la personnalité qualifiée.

 

Article 10 :

Les surcoûts identifiables et spécifiques supportés par les personnes mentionnées aux 1 et 2 du I de l'article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée pour la fourniture des données prévue par l'article II bis du même article font l'objet d'un remboursement par l'État par référence aux tarifs et selon des modalités fixés par un arrêté conjoint du ministre de l'intérieur et du ministre chargé du budget.

 

CHAPITRE III : DISPOSITIONS DIVERSES

Article 11 :

À l'article R. 10-19 du code des postes et des communications électroniques, les mots : « sans leur motivation » sont remplacés par les mots : « sans les éléments mentionnés aux a et c de l'article R. 10-17 ».

 

Article 12 :

Les dispositions du présent décret sont applicables sur tout le territoire de la République à l'exception des dispositions des articles 1er à 4, 10 et 11 qui ne sont pas applicables dans les Terres australes et antarctiques françaises.

 

Article 13 :

Le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie et le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État, porte-parole du Gouvernement, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

 

Fait le 25 février 2011. »

 

Il convient de préciser que l’article 11 du présent décret, renvoie à l’article R.10-19 du Code des PTT (les écoutes téléphoniques) qui lui-même renvoie au R. 10-17 que je vous cite :

 

« Article R.10-17 (Version en vigueur depuis le 23 décembre 2006, créé par Décret n°2006-1651 du 22 décembre 2006) :

Les demandes de communication de données prévues à l'article L. 34-1-1 comportent les informations suivantes :

a) Le nom, le prénom et la qualité du demandeur, ainsi que son service d'affectation et l'adresse de celui-ci ;

b) La nature des données dont la communication est demandée et, le cas échéant, la période concernée ;

c) La motivation de la demande. »

 

Exit donc la « motivation » et l’identification de l’agent et de son service !  

Comment voulez-vous qu'un juge, qu'une autorité, qu'un élu, qu'un citoyen puisse dès lors contrôler un fonctionnaire anonyme d'un service qui n'a pas à justifier de quelque motivation ?

Car dès lors, nos libertés d’expression et d’information sont désormais juridiquement violables par des inconnus, anonymes qui agissent sans motivation annoncée.

J’admire, j’admire !

 

Car, vous l’avez tous compris, il s’agit de VOUS protéger, vous et vos libertés contre le terrorisme barbare international et nationaliste !

Bien sûr, il ne s’agit pas de « nous », nous-mêmes, nous tous, citoyens honnêtes, travailleurs, besogneux, probes et non-abstentionnistes

Bien sûr.

 

Et de plus, qui semble décider dans l’anonymat total de ces honorables qualités « exonératoires » ?

L’autorité judiciaire actionnée par les procureurs de la République, ces citoyens au-dessus de la « norme habituelle » pour n’être soumis seulement qu’à l’autorité étatique, donc politique et élue de notre belle démocratie libérale et avancée que le monde entier nous envie tant, pour être celle de la « Patrie des droits de l’Homme » !

 

Bref, la boucle est bouclée : « François Fillon, le Premier ministre ; le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, Michel Mercier ; le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration,

Brice Hortefeux ; la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, Christine Lagarde ; Le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État, porte-parole du Gouvernement, François Baroin »,

Ils sont cinq, réunis en catimini sous les ors des salons de la République, à en avoir décidé ainsi, à s’être octroyé le droit, que dis-je, le DEVOIR, de fouiller dans vos navigations internetiques sur trois ans à rebours, si le Service anonymisé vous soupçonne de quelques turpitudes, même sans motivation énoncée, au nez et à la barbe de la CNIL et de vos élus siégeant au Palais Bourbon ou Médicis.

 

C’est là que ça me fait mourir de rire : Comme si, les truands, les terroristes, les malfaisants de tout poil et de tout genre, utilisaient leur téléphone filaire et non jetable, leur PC et internet, pour renverser leur dictature locale comme lors de la « Révolution de Jasmin » !

C’est un pur délire d’énarque et autre « sachant »…

Des techniques de communication de l’âge de pierre sont bien plus utiles, ne laissent aucune trace, ont déjà fait leur preuve et tout le monde sait ça depuis la nuit des temps !

 

Alors, alors, me direz-vous, pour quelle raison un tel décret ?

Attention « au détail qui tue » : L’article 12 !

« Les dispositions du présent décret sont applicables sur tout le territoire de la République à l'exception des dispositions des articles 1er à 4, 10 et 11 qui ne sont pas applicables dans les Terres australes et antarctiques françaises. »

 

Mais oui, bien sûr : Encore plus drôle !

On peut « terroriser » sans problème depuis les TAAF…

Ailleurs, tout le monde est un suspect potentiel qui s’ignore !

Et quand on dit « ailleurs », c’est seulement sur tout le territoire de la République : Au Congo-belge (et n’importe où sur la planète), le décret ne s’appliquera pas.

 

Quand même kon d’arrêter la prévention aux frontières, non ?

À vous d’en déduire ce que vous voulez, naturellement.

Personnellement, je me fends la pipe : Dans mon « maquis Corsu », y’a rien qui passe !

Sauf les « paghjelle » (Chant à trois voix au moins, de vallée en vallée, ou autour d’une table bien arrosée) !

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24 mars 2011 4 24 /03 /mars /2011 05:50

 

Appel à l’abstentionnisme de l’exécutif de « Gauloisie élective »…

 

Le post d’hier vous narrait une belle histoire qui va se passer (les plans « A », « B » et « B-bis »).

Désormais, ce n’est plus une hypothèse loufoque, mais bien une réalité qui se dessine sous nos yeux : Vous ne pouvez que le constater.

 

Perso, j’étais au guidon de mon « tas de boue à roulette » sur la route du retour de mon usine d’allumettes à la noix où ils ont eu le culot de m’en faire voir des vertes et des pas mûres (mais c’est une autre histoire), l’œil rivé sur « France-Intox », l’oreille tendue vers « le petit bruit » du boulon qui tient encore la roue arrière-gôche (qui me fait des misères en ce moment et depuis l’été dernier, moment où la courroie avait lâché dans un virage : Ça n’a sans doute aucun rapport, mais je surveille l’état du matériel « aux petits-bruits ».).

Le post d’hier était donc programmé depuis lundi matin et j’ai eu l’occasion de répondre aux commentaires du précédent depuis l’usine le matin même et depuis les bureaux d’une autre « boutique » parisienne où je t’ai encore emballé le « comité stratégique » local (une autre appellation possible pour mes « Copil », Comité de Pilotage de redressement) entre-deux « kilométrages-pointus ».

Et de rajouter le « PS » à toute allure avant de rentrer « chez mon moi » où j’ai pu pondre ce post-là la veille de sa parution.

Voilà en résumé le « contexte de l’intendance »…

 

Bref, j’avais lu dans la presse du matin, que c’était cacophonie autour d’un « front républicain » dans les rangs des caciques et édiles UMP (on ne peut pas encore parler de barons… Z’en n’ont pas le niveau).

J’avoue qu’avec le recul, je me félicite d’avoir rendu ma carte à feu le RPR : Là, je n’aurais de toute façon pas supporté.

 

Pas supporté quoi ?

Qu’on n’appelle pas à un « front républicain » ?

Pas du tout…

Principe républicain : Le suffrage universel n’appartient pas aux élus mais aux électeurs !

Va quand même falloir que ça rentre dans leurs petites têtes d’acéphales-autistes un jour où l’autre, ce genre de réalités.

Pas plus qu’un poste de travail n’appartient à celui qui l’occupe.

Ni mes mandats, de ceux que l’on veut bien me confier, à moi-même.

Il ne faut quand même pas dékonner comme ça à longueur d’onde, de colonne et de kilomètre.

 

On peut donner des consignes, mais les électeurs frontistes restent ce qu’ils sont et les « non-frontistes » ils font comme ils veulent, quelles que soient les consignes.

Ça nous a déjà valu de perdre « Paris-sur-Seine » au profit de « De-La-Nuée », ce genre d’âneries et quelques autres élections, mais non, on insiste !

« La droâte la plus kon du monde », disait mon « Papa à moi », celui qui me fait encore frémir le neurone de respect quand je l’évoque.

 

Si encore c’était clair, mais pas du tout : « Je voterai socialo » nous disent les unes, les uns et les autres, ce n’est pas une consigne, c’est un choix personnel (flûte « je », c’est soi-même, non ?), une intention seulement, parfois !

Mais alors quand le chef il nous dit qu’il faut s’abstenir, lui le « Ô combien vénéré Président », là, j’en choie de la mâchoire. Heureusement que c’est bien attaché, sans ça je passais le péage avec les ratiches entre les pédales du « tas de boue à roulette ».

J’ai même failli en tamponner un gros kul par derrière au moment où j’ouïe cette phrase.

Il n’allait pas vite, mais moi si : J’étais en retard.

C’est vraiment de la mise en danger d’autrui ce type de révélation.

 

Un peu plus loin, même écho de « Fifi le XIVème », tentant de faire la synthèse (alors qu’il n’y a qu’un champion du monde de la synthèse, c’est « Le Hollandais du PS »), qui dit que le choix c’est le « vote Républicain ou l’abstention » !

Ils se foutent de nous ou quoi ? « N’allez pas voter, on s’occupe de votre bonheur ! »

Au moment même où 55 % d’abstention, ce n’est déjà pas assez ?

Mais on marche sur la tête, là !

Z’auraient au moins pu dire d’aller voter en masse et deux fois s’il le fallait, même nul ou blanc, mais d’y aller, c’est la meilleure réponse possible des vrais « Républicains ».

Au moins, ça compte dans les décomptes, alors qu’une abstention ça ne compte pas dans les décomptes.

Tout Républicain « vrai » sait ça.

Les autres sont des nuls ou des autocrates de crotte de bique !

 

Pas la peine de faire, en plus, de longues études de droit à Nanterre, de droit constitutionnel, d’histoire du droit depuis les calanques grecques (et pas calendes), puisque nous savons tous, et mieux les juristes, tous les essais foireux ou réussis en la matière depuis 2.500 ans.

Et sur le sujet, la Vème République native (et post référendum 62) est sans doute ce qu’on a réussi de mieux pour le pays (avec les constitutions de Monaco et d’URSS… qui était vraiment géniale et une quasi-copie de la « gauloise », mais on y est pour rien pour cette dernière).

 

Tout Républicain « vrai » sait que le pouvoir démocratique naît, se forme seulement dans les urnes et pas dans la rue, ni en tournant le dos aux urnes, quel qu’en soit les enjeux.

Parce que si on continue bravement à ne pas aller voter, à la prochaine étape on se passera d’élection.

Il te nous suffira d’un petit sondage et le tour sera joué !

Qui donc accepterait en « Gauloisie démocratique » ce jugement du peuple-des-sondés ?

Personne !

Et c’est pourtant ce que nous raconte, sans le dire, les deux têtes de l’exécutif… issus des urnes !

Là, il faut vraiment le faire.

Comme sciage de la branche sur laquelle on est assis, y’a pas mieux !

 

Attention, il ne s’agit pas de n’importe qui, mais seulement des deux plus hauts personnages garantissant le bon fonctionnement de nos institutions, de notre administration, du bon usage du denier public pompé dans la poche du citoyen qui « y pourvoie en fonction de ses facultés » et délègue son contrôle aux élus….

Je veux mon neveu !

Bé, ce sont les mêmes qui expliquent sans rire, que finalement ça ne sert à rien d’aller voter !

Mon kul, oui !

J’enrage, là !

Les nerfs en pelote grosse comme ça : Des coups à se faire traduire en haute cour de justice pour haute trahison, oui !

Un peu comme l’a décidé le Sénat juste avant les adieux de Fontainebleau pour mon « cousin », quand il a s’agit de fonder juridiquement son abdication : « Il a violé le pacte qui le liait au Peuple » que c’est marqué dans le texte.

Mais on n’étudie pas ça à Nanterre, sans doute…

 

Parce que si ces imbéciles de citoyens sont demain-dimanche à boycotter à plus de 55 % « leurs devoirs envers la Patrie », on aboutit bien à l’hypothèse avancée hier (dimanche soir dernier pour moi), à savoir qu’en mai 2012, on entre dans l’aventure.

Soit « Bling-bling-dans-tête » il est élu et on s’en prend pour 5 ans.

Attention, nous ferons le tour des promesses électorales d’il y a 4 ans, le programme UMP, dans peu de temps.

Pour constater le désastre qui les décrédibilise tous durablement…

Avec un « fil rouge » d’une constance absolue depuis mai/juin 2007 :

1 – Défaire ce qui a été fait, détricoter pour mieux refaire « à la main » ;

2 – Assumant ainsi et sans le dire le « syndrome du cancre ».

 

Officiellement, le « syndrome du cancre », ça n’existe pas. Mais pour en avoir été un total (peut-être même que ça persiste encore, mais bon, ce n’est plus à moi d’en juger) durant très longtemps, je sais parfaitement comment ça fonctionne : On te fait apprendre un « truc » que tu ne piges pas.

Genre : « Le carré de l’hypoténuse d’un triangle rectangle est égal à la somme du carré des deux autres côtés », les cathètes.

Et on lui fait des beaux dessins qu’il est prié de mesurer pour vérifier.

Perso, es-qualités de cancre, j’additionnais les deux longueurs autour de l’angle droit que je multipliais par deux et je faisais la racine carré « au doigt mouillé » (parce que le calcul à la main d’une racine carrée, on n’avait pas de calculette, je n’ai jamais su faire. En revanche, j’étais capable « d’approcher » par intervalle des carrés en multipliant les valeurs de recherche).

Ça marche très bien avec des valeurs simples, je vous assure, même si l’erreur augmente avec les quotités…

Bref, le cancre substitue sa propre règle à celle unanime, parce qu’il ne comprend pas cette dernière.

Et il se débrouille avec.

Un autre exemple qui m’a révélé mon « syndrome de cancre » : Une fois j’ai eu 20/20 en math.

Moi ! Si !

Mon raisonnement était complètement faux, mais j’étais le seul de la classe à avoir eu le bon résultat.

Quand le prof m’a demandé de faire le corrigé au tableau, j’ai refusé en prétextant que « J’ai fait ça par les logs et ce n’est pas au programme, M’ssieur ! »

Culotté et j’avais trouvé le mot piqué à la cantine par « au-dessus » (des terminales) assez joli pour le retenir…

La tronche du prof !

(Hein, quand pour une fois dans sa vie on a un 20, on fait le nécessaire pour le garder, non ?)

 

Et c’est bien ce qu’on a vu depuis 4 ans : Un type, que dis-je une équipe entière, qui ne pige rien à notre monde judiciarisé, qui navigue à l’aveugle en matière économique, fiscale, sociale, diplomatique, tout ce que vous voulez, et qui invente ses propres règles de substitution auxquelles on doit tous se plier sans rien comprendre à « la ligne », la logique, telle que parfois elles se contredisent entre-elles assez largement, c’est assez significatif, non ?

Il suffit de suivre l’actualité depuis 4 ans : Un vrai « syndrome du cancre ».

 

Alors 5 ans de plus comme ça, basta !

Donc deuxième hypothèse, c’est le « soce » qui passera, quel qu’il soit. Tout le monde le sait et s’y prépare déjà.

Pas question pour notre « Ô combien vénéré Président », qui carrément appelle déjà à ne pas aller voter, et demain, suspendra les élections selon les procédés que je vous ai indiqués hier.

Mais il peut très bien en inventer d’autres, puisque de toute façon, il vient de nous dire que ce n’est pas la peine de se déplacer, qu’il vaut mieux rester planqué chez soi et que tout est sous contrôle !

 

Contre son propre mandat républicain de faire campagne pour aller voter, exercer son droit de vote, le fondement même de notre « Pacte Constitutionnel ».

Notre premier devoir de citoyen qu’ils appellent à piétiner dans l’allégresse de sa défaite qu’il sait déjà impossible…

 

Ce qui ouvre la porte de « l’aventure », je n’en démords pas : Ce n’est pas une réponse à apporter ni aux frontistes, ni aux générations à venir, ni même à nous-mêmes, le matin en se rasant.

Flûte alors : Un vrai scandale intolérable !

Et comme d’habitude, ce que j’en dis ou rien, ça n’émeut personne…

Marre, si vous saviez combien !

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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 04:19

 

« Chouette-chouette » m’écrit !

 

D’habitude, c’est pour m’envoyer des mots-aigres-doux.

Mais elle me cause « sérieux », elle me cause de la « Saga » de la fratrie « Bling-bling ».

Je ne sais pas pourquoi, elle doit les adorer.

Peut-être jusqu’à la vénération…

Alors même que « l’Ami-râle » fondateur du « Parti de la mer », un « truc » un peu loin de la Creuse ou des collines alpines pour faire buzz dans l’électorat de « Gauloisie élective », trouve fondamentalement génial notre « Ô combien vénéré Président » (et ses frangins).

Et il a bien raison, semble-t-il.

 

Car, on parle beaucoup de conflits d’intérêts dans la vie politique ces derniers temps. Des amitiés de « Bling-bling » avec le milieu de la finance et des médias, de l’affaire « Woerth-Bête-en-cour » aux récentes révélations du livre de Martin Kirsch (« Pour en finir avec les conflits d'intérêts », Éditions Stock, 2010, nous en avons déjà causé ici même à plusieurs reprises).

Mais restent passées sous le silence des maladies honteuses dont on ne parle jamais dans la presse « officielle » d’autres évidences.

Le déficit prévisionnel de la Sécurité Sociale a été annoncé récemment et une diminution des remboursements (le joli vocable de « déremboursement ») est d’ores et déjà au programme, pour bien comprendre, il faut vous révéler (celui-là même qui en demande toujours plus de « l’État-Providence » auquel ils sont « addictés » tel des drogués), pourquoi on les encourage vivement depuis les « bureaux de dessus ma future cave à vin », autrement dit le « Palais de l’Élysée ».

En fait, vous savez déjà, si vous lisez mes « quelques œuvres de plumitif » sises ici, mais une petite piqûre de rappel n’est pas plus mal.

 

Prenons le Pôle Emploi, né de la fusion de l’ANPE et de l’ASSEDIC sur une « idée géniale », là comme ça, née un matin au réveil dans l’esprit de notre « Bling-bling » national, un peu comme toutes les réformes « majeures » qu’il nous a imposées depuis bientôt 4 ans (la taxe professionnelle, on en causait la semaine dernière, l’abattage des chiens, le jugement des fous, la fermeture des maternités, l’alignement des magistrats dans des boîtes de « petit-pois », etc, j’en passe est sans doute des meilleures).

En tout 50.000 employés.

La Sécurité Sociale, comprenant l’Assurance Maladie, l’Assurance Vieillesse et les URSSAF compte jusqu’à 120.000 employés.

Ces deux organismes ont été concernés par une réforme récente concernant les « Complémentaires Santé ».

Ainsi, depuis le 1er janvier 2009, 170.000 employés ont été contraints de résilier leurs contrats avec leurs mutuelles pour adhérer à une « mutuelle employeur obligatoire ».

Ceux qui ont des enfants ont également été obligés d’inscrire ces derniers sur le nouveau contrat (sauf s’ils étaient déjà ayant-droits sur le compte du conjoint via une mutuelle employeur obligatoire). On peut appeler ça du passage en force.

Et c’est une des conséquences de la loi « Fifi le XIVème »… de 2003.

Y’en a qui ont la longue-vue quand il s’agit d’avenir…

Du « Babar-iturique » qui voyait le « bout du tunnel » dès 1976 : On y est encore, c’est dire le talent du bonhomme !

Inégalé à ce jour !

 

Ce qui est encore plus étonnant, c’est de constater que c’est le même organisme qui a remporté les deux marchés. Personne n’a communiqué sur les modalités des appels d’offre mais on peut constater que c’est le groupe Malakoff-Médéric qui a raflé la mise, obtenant d’un coup d’un seul, 170.000 adhérents supplémentaires, sans compter les ayant-droits.

Ajoutez à cela les 800.000 salariés CHR (café-hôtellerie-restauration) qui sont rentrés dans le dispositif en janvier 2011… c’est encore Malakoff-Médéric qui a emporté le marché.

 

Pour vous donner une idée du poids de Malakoff-Médéric sur le marché de la « Gauloisie de l’assurance », c’est désormais le n° 1 des groupes paritaires de protection sociale, le n° 2 de la retraite complémentaire et le n° 3 en santé collective (classement Argus de l’Assurance).

Vous vous rappelez que le groupe est né de la fusion de Malakoff et Médéric (d’où son nom) le 30 juin 2008, soit 6 mois avant la mise en place du dispositif « mutuelle obligatoire employeur » pour la Sécurité Sociale et le Pôle Emploi.

Ainsi, dès le 1er Juillet, le président de Médéric cède sa place pour laisser seul aux commandes du groupe, le président de Malakoff : Un certain Guillaume « Bling-bling ».

Ce dernier est loin d’être un inconnu : au Medef de 2000 à 2006, d’où il a fini par se faire virer par défaut d’objet cotisant, il a aussi été le vice-président de la CNAM de 2004 à 2005, représentant du patronat national.

Et il apprend vite, car ce n’est pas le fils prodige, mais le frère de notre « Ô combien vénéré Président » qui n’est pour rien au talent d’entrepreneur de cet homme-là, pas même un petit coup-de-pouce.

 

Vous connaissez « François Bling-bling » ?

Un pédiatre de formation, François a abandonné la pratique de la médecine des gamins pour se consacrer à l’industrie pharmaceutique (principalement orientée vers la gériatrie, la pharmacopée des seniors) depuis 2001.

Beau parcours, non ?

En tout cas, des primo-jeunes aux « alter-et-ex », il aura beaucoup vieilli.

Ainsi, il siège au conseil de surveillance de Bio Alliance Pharma et est devenu le président d’AEC-Partners dont une des missions est le conseil aux fonds d’investissement.

 

Par ailleurs, François a également lancé une chaîne de télévision spécialisée dans la santé sur internet financée par… le laboratoire Sanofi.

Ajoutons à cela ses relations avec le groupe « Paris Biotech Santé », l’un des protagonistes de l’affaire de « l’Arche de Zoé », et on aura compris que l’homme a tissé sa toile : il fait partie aujourd’hui des puissants lobbyistes de l’industrie pharmaceutique.

D’ailleurs le « Grand plan Alzheimer » lancé par notre gouvernement sous l’impulsion de notre « Ô combien vénéré Président » est un joli cadeau de quelques centaines de millions d’euros, une aubaine pour le secteur dont il défend les intérêts.

Magnifique, non.

Y’a pas de hasard, juste des nécessités, accepterons-nous comme argutie, naturellement.

 

Mais connaissez-vous le « cerveau » (parce qu’il ne faut pas croire que tout cet écheveau soit sorti de l’activité neuronale de notre « génial et Ô combien vénéré Président » : Il a trop à faire avec Karla qui souhaite faire du « Guano », et visiter sur ses traces les ruines romaines et archéologiques de Libye.

Soucieux de faire copain-copain avec le chef d’État local, il a été question de l’aider à remettre de l’ordre chez lui, maintenant il est question d’y envoyer nos rafales pour le renverser…

 

C’est Olivier « Bling-bling », dit aussi l’éminence grise : Olivier, demi-frère par le père de Nico,  copilote depuis avril 2008 l’activité mondiale de services financiers de « Carlyle Group ».

Pour les béotiens que nous sommes s’il n’y avait pas « Chouette-Chouette », le Groupe Carlyle est une société d'investissement américaine fondée en 1987.

Basé à Washington D.C., il est présent dans de nombreux domaines d'activités, comme l'aéronautique, la défense, l'industrie automobile et des transports, l'énergie, les télécommunications et les médias.

Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-est.

Le groupe gère 89,3 milliards de dollars de capitaux propres et emploie plus de 515 professionnels de l'investissement dans 21 pays.

Les différentes entreprises de son portefeuille emploient, quant à elles, plus de 286.000 personnes (plusieurs divisions) dans le monde et Carlyle a environ 1.100 investisseurs répartis dans 31 pays à travers le monde.

 

Pour rappel, le groupe Carlyle a ou a eu parmi ses membres actifs l’ancien Premier ministre britannique John Major, James Baker, ancien secrétaire d’État américain, George Bush père, ancien directeur de la CIA et ancien président des États-Unis, Frank Carlucci, ancien directeur de la CIA et secrétaire à la Défense américain, Karl Otto Pöhl, ex-président de la Bundesbank, la famille Ben-Laden bien sûr, celle des machine à laver, et plusieurs chef d’État et de gouvernement…

Il n’est pas coté en Bourse, et n’est donc pas tenu de communiquer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que le nombre de leurs parts respectives.

 

« La bande des 4 »… frères : Le cerveau qui copilote l’activité mondiale des services financiers d’une multinationale tentaculaire, l’un en charge de l’exécutif de la « Gauloisie malade », notre « Ô combien vénéré Président, l’autre à la tête d’un des plus gros groupe d’assurance santé et le dernier qui sert les intérêts des laboratoires.

Bref, notre avenir est entre de bonnes mains : Je me sens pleinement rassuré.

Et eux-mêmes en « conflit d’intérêt » familial assumé, persistent à imposer une chape de plomb aux médias qui en parlent peu et préfèrent s’étendre sur les copains milliardaires de « notre génie national ».

 

Or, on peut légitimement nourrir des inquiétudes sur l’avenir de notre pays.

Les réformes engagées depuis 2004 ne font que confirmer sa détérioration et l’on peut prédire le démantèlement de toutes nos structures sociales et services publiques d’ici quelques années.

Ce serait de bonne augure pour « La famille » de Pal « Bling-bling », le paternelle !

 

Ah, quand l’esprit de famille vous tient chaud au cœur, y’a pas à dire, j’adore la « méritocratie de mon pays à moi ! ».

Nous en causions encore hier, dites-donc !

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 11:37

 

 

« Guano », conseiller spécial de « Bling-bling », reconnaît un séjour « privé » en Libye…

 

Le conseiller spécial de notre « Ô combien vénéré Président », « Hache Guano », a passé ses vacances de Noël en Libye, bien avant le début de la révolte populaire qui menace le régime du génial colonel Mouammar Kadhafi, lors d'un séjour privé, révèlent « Les Inrockuptibles » à paraître dès demain.

Dans un entretien accordé à l'hebdomadaire, « M. Guano » confirme avoir passé « quatre jours et quatre nuits » autour de la Saint-Sylvestre chez… l'ambassadeur de « Gauloisie éclairée » à Tripoli à titre « privé ».

Encore une chouette résidence payée avec de l’impôt bien gaulois…

Décidément, ils n’en finissent pas avec leurs amitiés pour les dictatures, nos « sachants » !

 

« Je n'ai rencontré personne, sur le tarmac, qui m'a offert de me transporter en avion privé », a-t-il assuré en référence à la polémique sur les vacances de Noël tunisiennes qui ont provoqué le départ du gouvernement, dimanche, de MAM.

On veut bien le croire : Même pas un douanier local ?

« Nous avons même payé nos billets d'entrée pour nos visites archéologiques. J'ai payé notre billet d'avion », a-t-il poursuivi, avant de préciser qu'il n'avait pas rencontré d'officiels libyens.

Et les « officieux » qui trainent dans les coins ?

« Il faut sortir de la paranoïa, il n'y avait aucune rencontre, aucune discussion, aucune invitation officielle », a insisté « H. Guano ».

 

Le conseiller de notre « Ô combien vénéré Président » a également indiqué l’avoir informé  ainsi que le secrétaire général de l'Élysée de l'époque « Cloclo Gué-an », aujourd’hui ministre des cultes et de l’ordre règne en l’intérieur.

Et « Guano » de confier que notre « Bling-bling » national de lui a alors demandé : « Tiens, qu'est-ce que tu vas faire là-bas ? »

Prendre une leçon des droits de l’Homme (et des femmes voilées), peut-être ?

 

Outre le séjour tunisien de MAM, qui avait profité de l'avion d'Aziz Miled, un ami homme d'affaires réputé proche du clan Ben Ali, de « Fifi encore XIII mais bientôt XIV » sur ce coup-là, lui aussi été épinglé pour avoir passé ses vacances de Noël en Égypte, à l'invitation du président déchu Hosni Moubarak, ça fait beaucoup…

Une vraie poisse : À chaque fois qu’ils reçoivent un « dirigeant Gaulois », y’a comme des « rivières de sang » qui se propagent sui generis !

Et ils veulent tous venir faire un tour au pays à l’occasion des G8 et G20 ?

Suicidaires, tiens !

 

Dans la soirée sur France 3, « Guano » a regretté un « amalgame » entre ces affaires n'ayant « aucun rapport entre elles » et dénoncé aussi le fait d'avoir été « enregistré à (son) insu » lors d'un échange téléphonique avec Les Inrockuptibles.

« Vous trouvez normal qu'un journaliste vous appelle, vous demande si vous avez passé vos vacances en Libye. On vous enregistre à votre insu, on en fait une interview sans vous prévenir. Est-ce que vous trouvez ça déontologiquement normal ? », a-t-il demandé.

Ce qui m’épate, c’est qu’il ait pris un « rock-up-tible » au bigophone sans se poser de questions…

Et que voilà, il déballe tranquillement ses fouilles archéologiques en terre gazière, histoire d’affirmer qu’il n’y faisait pas non plus son marché…

Ça, est-ce bien normal quand on a la haute tâche d’occuper un poste au sommet de l’État, choisi par celui que tous la moitié de tous les « gaulois », pour conduire les affaires et tenir la plume de notre « Ô combien vénéré Président » ?

 

« Et ce n'est pas tout, après on fait une dépêche et on mélange avec les vacances de François Fillon en Égypte, celles de Mme Alliot-Marie en Tunisie, ça s'appelle de l'amalgame (...) Mais ça ne fait rien il faut instiller le soupçon ! », a protesté le conseiller du chef de l'État. « On va jusqu'où ? ».

Bé il devrait le savoir, puisqu’il conseille le « Chef » : Jusqu’à la « tolérance-zéro », nous avait-il promis, armé de son Karcher et de son croc de boucher !

 

Et moi, kon, qui y avait cru…

Y’a longtemps.

« Où il sentait pas bon », pour reprendre le Grand Brel…

 

Le pire, mais alors vraiment de quoi ressortir le guillotine ou de rouvrir le bagne de Cayenne, c’est que tous ces « gentils membres », il passe Noël chrétien en terres mahométanes, mais sont atteints de cécité aigue quand il s’agit « de renifler » l’état des lieux.

Vraiment des pas doués !

Et on leur confie notre avenir ?

J’ai un gros doute, subitement…

 

À quand donc une République exemplaire ?

Avec des hommes (et femmes) exemplaires choisi parmi les « exemplaires » dignes de ce qualificatif !

Ras la casquette, à la fin.

Je rage, là, si vous saviez combien…

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 09:09

 

Je ne regrette décidément pas d’être né en « Gauloisie spectaculaire » !

 

Y’a pas à dire, on se tape sur la gueule en Tunisie que la « mère Mam » propose l’aide de notre GIGN national pour ramener le calme de « l’ordre régnant » dans les rues.

Au moment où je trace ces lignes, on en a fait autant en Égypte (déjà 300 morts dit-on, plus une méga-manif' pour un départ du chef) mais personne ne se sent autorisé à envoyer nos Canadair pour rafraîchir les idées de la populace locale (et tout le monde a oublié que « Mou-Barak » a quand même accepté les « pleins pouvoirs » en son pays après un attentat sanglant contre son prédécesseur).

Tous des pays où la CIA laisse faire et l’Euro-groupe d’appeler au respect des intérêts de nos « ex-pats » locaux qui apportent tout le savoir-faire néocolonialiste de l’Occident dont ne saurait se passer ces barbares autochtones.

Pendant ce temps-là, les bourses européennes flambent (« acheter au son du canon, vendre au son du clairon »), tout en massacrant toutes les valeurs de ces sociétés de bétonneurs et de banquiers qui portent la gloire de nos couleurs dans ces pays-là !

Mais les valeurs pétrolières, ça flambe, ça flambe : La nouvelle économie du pic du pétrole se met en place !

« L’ami-râle » nous le disait encore récemment (oui, il faut lire et j’ai des machines qui font ça mieux que moi), dans son blog ufologique.

Je m’en amuse, je m’en amuse.

 

Mais attention, le plus drôle reste quand même dans nos campagnes.

D’abord le « cousin » (bé oui, malgré son nom, il est né Corsu) Léotard de réciter sa leçon anti-chiraquienne devant les juges tout en niant vertement l’existence de versement de commissions occultes !

Du grand art : Et parfaitement logique, puisque c’est lui qui avait mis son pote « Donne-à-Dieu-&-Vabres » (pas celui des cafés du même nom, un pote de promo d’HEC de mon « Papa-à-moi », celui qui, etc.) aux manettes pour finir cette négociation « intéressée » (on en a déjà causé dans ces colonnes et à l’occasion des « Enquêtes de Charlotte » de l’été dernier) imaginée par l’équipe précédente, celle de la « gôche-unie ».

Expliquez-moi là où il n’y a pas contradiction dans le propos : J’attends fermement !

 

Ensuite, ce sont les Compagnies Républicaines de Sécurité, qui elles te font la grève sur le tas !

C’est interdit ?

Pas grave, ils te leur collent des arrêts-maladies en pagaille, histoire de la mettre à leur hiérarchie.

Je vois très bien la tronche du toubib : Huit jours d’arrêt pour récupérer du stress d’un déménagement à venir.

Alors quand il sera question de les déménager dans d’autres « corps de métier » que celui du « maintien de l’ordre » par la « castagne », je veux voir, je veux voir !

J’attends avec jubilation le moment où les cortèges de CRS défileront face à la gendarmerie mobile…

Ça sera autant de moins caché derrière les radars routiers !

Quel magnifique pays, non ?

Jean Yann aurait été parmi nous, il nous en aurait fait un film fulgurant, genre « Moi y’en a vouloir des sous » !

 

Déjà que les flics et les préfets, ils se sentent tous mal-aimés (malgré ces sublimes mélos-télé qui nous vantent « Julie L’Escaut » ou l’honneur de la gendarmette qu’on nous rabâche à longueur de séries sur le modèle amerloque du new-deal flicard), qu’il y a comme du remous dans les sillages des sous-offs, officiers et même généraux dans nos armées.

La faute à n’avoir pas de crédits suffisants pour exporter la paix en Afghanistan, admirez à quel point nous en sommes dans la déliquescence des institutions de ce « beau pays qui est le mien » !

 

Même les juges sont saisis de question konne du mariage homo, c’est dire !

 

Et puis ces « directeuses » de crèches municipales qui te font aussi la grève sur le tas.

Faut dire qu’à la DFPE parigote, s’ils ont pu voir venir le coup, ce dont je doute, la semaine dernière ils n’en pipaient pas mot : Je sais, j’y étais à traînasser mes guêtres dans les couloirs du Quai de la Râpée.

Mon délice du moment : Il faisait froid dehors, chaud dedans et je cherchais la machine à café de derrière les ascenceurs !

Donc, fermeture des établissements, des dizaines de milliers de famille pas dans la marée d’étrons que ce genre de mouvement génère et en aval les entreprises des « travailleuses et travailleurs » qui doivent faire avec : Une bonne raison de plus pour ne pas embaucher de jeunes couples !

La raison ?

Bé c’est que travailler, c’est fatigant !

Alors déjà qu’un crèche municipale, ça coûte le triple d’une associative, au moins à Paris, ça a des taux de remplissage de 50 à 60 % là où ailleurs on nous impose du 80 à 90 % malgré les ponts et les vacances scolaires des plus grands, bé il faudrait le double de personnel pour assumer ou les augmenter.

Encore un effort, parce qu’ils fonctionnent avec quasi-double équipe : Il manque juste quelques cuistots en plus pour faire le compte.

Je ne te dis pas d’ailleurs : Une équipe de cuistot central pour confectionner repas et goûter des « chères têtes blonde », et une autre dans chaque structure pour réchauffer, servir, débarrasser et nettoyer ensuite et sans bruit pendant la sieste.

Normal que les « directeuses » se sentent « surchargées » de travail à gérer tout ça de façon synchrone tous les jours en cadrant avec leur statut de fonctionnaire territoriale.

 

Et alors quoi ?

Bé on te nous refait le coup de « Karla la top-modèle ».

La une des uns et des autres qui annonce-t qu’elle « n’a jamais voté à gauche »… dans son pays d’accueil (bienvenue à bord !) qui est aussi le mien !

Forcément, elle votait « rital ».

Et jusque-là, n’a pas encore voté « franco-gaulois »…

De plus, en Italie, quand on n’aime pas « Berlu », on est forcément de gôche et… minoritaire !

Alors que quand on vit dans les draps de « Bling-bling », on a beau se dire « bobo », on a la reconnaissance du ventre (oui, je sais, c’est un peu facile) chevillée au corps, c’est normal.

Et puis ça fait si beau dans le pays du romantisme.

Demain elle nous fera le coup du « J’aime mon homme (et ses talonnettes), je vote pour lui qui n’est pas de drôate ».

Si en plus elle nous la ramène façon « mère-Denis » (« ça, c’est ben vrai, ça ! ») mélangé à la « mère Darty » (« si vous trouvez moins cher, on vous rembourse la différence et on vous offre le champagne ! »), j’en connais qui vont espérer qu’elle sera tellement saoule qu’ils pourraient abuser de la situation !

Un coup à se faire réélire « les doigts dans le nez et une b… dans le kul », comme on disait sur les terrains de sport après une action d’éclat mémorable et un sens de la modestie incommensurable.

C’est bon pour les sondages, toutes ces niaiseries-là !

Alors on en use et abuse.

Imaginez un peu demain : « Bling-bling » ? Un homme de « gôche » (puisqu’il ne peut pas être de « droâte ») !

À en mourir de rire étouffé dans les spasmes rigolatoires irrépressibles !

Fantastique non, à un moment où un monde s’écroule sur lui-même sans prévenir gare !

J’adore, j’adore.

 

Parce que pour le reste, on censure.

Je viens ainsi d’apprendre que toutes les photos de la petite escapade mexicaine du mois de mars dernier sont désormais interdites de publication.

Qu’on se souvienne bien : Jeudi 5 mars au soir, notre « Ô combien vénéré Président » passe chercher son épouse légitime du moment à la soirée de l’association internationale pour la recherche et l’aide médicale « Hadassah », invitée d’honneur.

Un petit tour et puis s’en va : « Je pars au Mexique », lance-t-elle à la cantonade en jet-seteuse accomplie.

Il s’agit d’une visite d’État, prévue les dimanche 8 et lundi 9 mars.

Visite officielle pour rencontrer le chef de l’État mexicain, Felipe « Cale-des-ron-ness » et son épouse, une signature d’accords de coopération sur la sécurité et la santé, une déclaration conjointe sur le réchauffement climatique, des discussions sur la réforme du Conseil de sécurité de l’ONU, et une autre sur le sort de la Française, Florence Cassez (les pieds)…

Bref, il avait dit qu’il irait chercher, avec les dents s’il le fallait, tous « nos otages », il y va.

 

Mais, mais, queue de cerise pour les journées des vendredi 6 et samedi 7 mars.

L’AFP vend la mèche vendredi matin : Parti en week-end au Mexique, pardi !

Pour une petite escapade en amoureux sous secret défense et aux frais de la princesse gauloise !

Et ces kons de « sachants », pour justifier ce départ précipité pour le Mexique, dès le 5 mars au soir, soit trois jours avant la visite officielle, de mettre en avant la lenteur des avions de la flotte présidentielle.

L’Airbus 319, ce n’est pas « Air Bling-bling one » : Les avions moyens courriers nécessitent une escale pour le ravitaillement, ce qui a le don d’agacer régulièrement notre « Ô combien vénéré Président » et son « escort-girl » attitrée et épousée.

Escale à Reykjavik, en Islande. « Le voyage prend du fait de cette escale, 19 heures, la faute aux avions commandés sous l’ère Jospin », sous-entendu le ringard, pingre et huguenot-lambertiste !

Bizarrement, au retour, une seule journée « off » était prévue contre deux à l’aller.

 

Et pourquoi un tel secret autour de ce week-end-là ?

En pleine crise économique et sociale, avec une fronde dans les universités, dans la magistrature, aux Antilles… pas besoin d’un dessin : L’escapade Présidentielle paraîtrait comme trop décalée.

D’autant que des photos de paparazzi montrent le Président de la « Patrie des droits de l’homme » se vautrer dans le luxe de l’hacienda d’un mafioso local dont la réputation (de « gôche ») n’est plus à faire.

Depuis désormais, on ne voit donc plus de photos de ces petits week-ends, comme au Brésil à Noël ou à Megève pour la Saint-Valentin.

Avec l’idée que sans photo, il n’y a pas de trace dans l’opinion ?

 

Si ce n’est pas de la censure, comme le fait le pouvoir égyptien moribond avec Twitter, les réseaux Fesse-book et Internet, qu’est-ce donc au juste ?

Non décidément, je ne regrette rien d’être né à pareille époque dans ce si beau pays-là !

Trop drôle, trop drôle…

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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 09:12

 

Y’a un « truc » dans leur eau : Ce n’est pas possible autrement !

 

Quoi ! Il ne faut pas dékonner : Si ce n’est pas dans l’eau des glaçons de la Vodka, c’est carrément dans la vodka qu’ils picolent tous au petit-déjeuner !

La semaine dé-passée, c’était « The Walls » qui nous jetait du débat sur les 35 heures.

La semaine re-passée, juste avant les départs tortueux sur les routes du week-end, c’est « Krikri Yodacob » qui se met à délirer sur la fonction publique et ses emplois à vie !

Or, comme je respire le même air que tous ces gars-là, mais ne picole que de la vodka de ma fabrication et des glaçons distillés en alambic par mes soins, c’est donc les leur qui déraillent !

Je ne vois pas d’autres explications…

 

Parce que bon, « The Walls » (dit aussi « Le valse » par « Ségololo »), il nous a bien fait rire avec cette affaire des 35 heures.

Bien sûr qu’il n’est pas question d’y revenir, soyons sérieux, au moins un peu.

Faut une être un « crédule croyant » de la « gôche la plus réac » pour le penser !

Surtout « Bling-bling », voyons donc !

Déjà qu’il les a quasiment démantelés…

Y’en a qui ne raisonnent pas plus loin que le bout de leur truffe pour y aboyer plus d’une seconde…

Pire, pour réagir (pour ou contre), enfin voyons !

 

Si il n’y avait plus les 35 heures, mais qu’on passe à 39 ou 40, y’aurait plus moyen de « travailler plus pour gagner plus » faute de « référence utile ».
Punaise : Et notre « Ô combien Vénéré Président » de laisser piétiner ses dernières promesses électorales pas le premier kouillon venu ?

Même de « gôche » ?

Vous n’y pensez pas une seule seconde, espère-je : Il y en a déjà si peu qu’il a pu tenir, des promesses, alors sacrifier celle-là en plus…

C’est qu’il y tient à sa « TEPA ».

Et c’est justement ce que « Walls », quand il en cause, vise avant tout. Intelligent le bonhomme, pas comme ces « petits-kamarades-soces » progressistes et humanistes réactionnaires…

Non pas pour les « gueux d’esclaves consentant » qui se sont laissés tondre leur retraite en échange, mais parce qu’alors le bouclier fiscal ne tient plus non plus !

Et là, c’est bien plus grave, parce que c’est tout l’électorat-financeur de notre « Ô combien vénéré Président » qui le considérera comme un pantin…

« Karlita » ne le supporterait pas et il le sait bien.

Et assumer un nouveau divorce, sans descendance fertile cette fois-ci, plus une déculottée aux prochaines élections, c’est quand même beaucoup pour un « si grand homme »… d’État !

 

Alors comme ça, avant même les apéricubes, « Krikri Yodacob », ex-exploitant éleveur-agricole (pas longtemps, rassurez-vous : Ça schlingue le purin !), il se met à lire mes « petits-posts » ?

Parce qu’effectivement, l’emploi à vie, même dans la fonction publique, c’est une ineptie-totale !

Vous l’avez déjà lu sur ce blog et je n’en démords pas.

Pensez donc au « prof » que je fus (de quand j’en étais, parce qu’ils ont fini par me jeter à plusieurs reprises avec mes réflexions ici ou là sur les délires des « sachants » qui m’échappent en amphi, même quand ce n’est pas à mon tour d’être orateur et que comme j’ai toujours refusé d’être « statufié », ça leur était facile), de management et autres âneries pour boutonneux, imaginer d’obliger un quidam à rester en poste toute sa vie, c’est pire que l’enfer !

Dire qu’il y en a qui réclame cet injuste sort…

 

Qu’on soit un peu sérieux pour une fois : Tu te prends un « d’jeune », que tu l’obliges aller s’emmerder sur les bancs d’un lycée, d’une fac ou d’une ékole au lieu d’aller trousser les jupes des filles, à s’enfiler des notions et connaissances dont il ne se servira jamais plus (mais au moins elles sont acquises, on n’a plus à y revenir), à le pousser à se préparer à des concours difficiles pour intégrer un poste ou une fonction ;

Un type, ou une fille, nec plus ultra, ce qu’on fait de mieux sur le moment pour être parmi les meilleurs en tête des « bêtes de concours », même si c’est le moins pire des systèmes de recrutement (je lui préfère l’entretien individuel qui te dira en deux minutes si l’impétrant est capable et a envie de s’intégrer dans une équipe préexistante, mais bon, ce n’est pas moi qui fait les décrets…), et que tu vas le coller en prison, oui en prison, toute sa vie ?

Faut vraiment être un pervers dégueulasse et sans nom, non ?

 

Vous allez me dire qu’il ne restera pas toujours au même poste, ni peut-être à la même fonction.

Je veux, oui !

Parce que sans ça, il va en devenir dingue, le pôvre, en moins de vingt ans de carrière, en plus !…

Vous allez me dire qu’il peut aller « pantoufler » dans le privé…

Bon alors sachez qu’on ne « pantoufle » pas vraiment dans le privé. Ce serait plutôt dans le publik qu’on y pratique la « pantoufle », quand on voit les journées et le stress des journées à gérer dans les boîtes du privé… tous les jours dès qu’on a un peu de responsabilité.

Jeudi dernier encore, j’ai terminé à 22 heures. Une des filles avec lesquelles je travaillais dans l’urgence (parce que c’est toujours l’urgence dans le privé : Dans le publik, ça peut attendre l’ouverture des bureaux ! De toute façon ils ferment à 18 heures pour des raisons de sécurité), elle se fait appeler sur le coup de 20 heures par le commissariat de son quartier parce que sa gamine attendait son père au commissariat depuis deux heures, que les flics n’arrivaient pas à le joindre et que le centre d’arriéré de l’ékole publik avait fait son quota d’heures de présence !

La pôvre gamine victime de l’indécence de la directrice d’ékole : Elle aurait pu appeler la mère, non ?

 

Le mot « pantoufler » vient d’ailleurs du publik, de ce que chez les « X », si tu ne fais pas tes 5 ans de services dans le publik de ton choix (avant c’était 10), tu rembourses un forfait de tes études (payé par le « débaucheur », en général).

Par dérision, ils ont appelé ça la « pantoufle » (dont le traitement fiscal reste exonératoire au droit commun : Une petite « niche » à elle toute seule, qui ne fait même pas partie des listes officielles sur le sujet.)

Parce que bon, ils ont le sens de l’humour, ces gars-là, qui parvient parfois jusqu’au deuxième degré !

Passons, c’est hors sujet…

 

Le sujet, c’est qu’ils pantouflent en ce « mettant en disponibilité ».
Là encore, le sens de la dérision, puisqu’ils deviennent… indisponibles pour leur service !

Mais si les affaires tournent mal, ils peuvent ad nutum redevenir disponible, même sans fonction : Au moins, ils seront payés avec un rattrapage de l’ancienneté, une reconstitution de l’avancement « normal » moyen et tempéré… puisqu’ils sont « fonctionnaires à vie », y compris pour leur retraite, même s’ils n’ont finalement jamais bossé pour la fonction publik, et même si c’est un calcul au prorata des « années de services » réelles (pour la rente putative).

J’admire quand les « Gaulois impécunieux » se serrent la ceinture par ailleurs.

 

Bon, pour en revenir au sujet, je suis tout émoustillé de savoir que « Krikri Yodacob », il lit mon blog.

Parce que j’y fais, rarement il est vrai, des propositions sur le sujet.

 

Petit rappel :

 

1 – Fusion du droit du travail (celui du Code du même nom) avec celui de la fonction publik (du Code du même nom).

Comme ça, on aura plus de jaloux, ni chez les 3 méga-citoyens des trois « fonctions-publiks », ni chez 21 méga-citoyens qui émargent dans le privé.

Bon, les uns et les autres manipulent chacun environ la moitié du PIB de la Nation, ce qui reste à faire des jaloux, d’autant que les uns le créent par leur activité, alors que les autres ne font que le leur piquer pour le redistribuer comme ça leur chante (ou à peu-près)…

 

2 – Réforme du Code du « Labor » unifié, notamment en ce qu’il n’y a plus aucun « contrat à vie », mais des « contrats de fonction », à durée limitée exclusivement.

1 – 3 – 5 ans maxi, renouvelable une seule fois, comme pour les mandats électifs, avec tiers-temps avant le troisième contrat d’avec le même employeur.

Qu’on soit dans le privé ou dans le publik, puisqu’il n’y a plus de différence légale.

 

Pourquoi 1-3-5 ?

Parce qu’un vieux « truc » de communicant : Une page = trois idées (pas plus, sans ça c’est incompréhensible – c’est vous dire si je suis mauvais dans ce domaine, moi qui en fourmille à chaque ligne) = 5 doigts (pour tourner à la page suivante).

 

3 – Parce qu’un type qui aura passé toute sa vie au même poste, à la même fonction, il en devient « sclérosé-total-névrotique ».

Bon, y’a des exceptions (qui confirment la règle, quoique…) :

 

a) – Par exemple, un de mes clients grainetiers et un autre pharmacien, m’ont affirmé qu’un « chercheur » on ne sait seulement qu’au bout de dix ans si c’est ou non un « trouveur ».

Et ça ne se mesure pas au nombre des publications qu’il a pu faire.

D’abord parce que quand il publie, il ne cherche pas, il synthétise.

Ensuite parce que pour publier, il faut lire beaucoup. Pendant ce temps-là, au mieux, il se les roule ; au pire, il bulle à essayer de comprendre l’incompréhensible pour lui – sans y parvenir – en lisant ce que d’autres ont pu raconter sur son sujet !

Ça se mesure donc au bout de dix ans aux réalisations innovantes ou non.

 

b) – J’ai eu l’occasion de rencontrer des hyper-spécialistes sur quelques questions éminemment techniques, notamment en matière de droit social ou fiscal (mais ça existe ailleurs aussi, parmi les flics, les juges, les ingénieurs, les toubibs, des boulangers, des pierreux, des architectes… j’en ai rencontrés !).

La plupart te font des véritables leçons du niveau thésard en trois phrases courtes tellement claires que tu te fais tout-petit-petit…

Et curieusement, en général, ce sont des « très jeunes » dans leur fonction et métier du moment, que là tu te dis que t’es vraiment « né-kon » ;

Ou bien des « proches du costume de sapin », que là, tu te dis que quand ceux-là vont prendre leur retraite, on va avoir du mal à les remplacer.

 

c) – D’autres qui font « gourou ». Ceux-là, de toute façon, soit ils disent des konneries plus lourdes qu’eux (genre le pluriel « d’A-Talus », dit aussi Attali), soit ils sont déjà ailleurs.

Je sais, je fais de temps en temps.

 

d) – Dans certains métiers, y’a pas à dire, on ne devient un bon-sous-off, ou un bon officier qu’avec le temps. Dans l’armée, ils rempilent. Donc au fil des grades acquis, l’âge du « reclassement » recule.

Y’a nécessairement une raison d’efficience (et pas seulement du « co-pine-âge ») : Faudra en tenir compte (cf. « b » ci-dessus).

Mais faut encore que le « Kon-cerné » le veuille bien et que sa hiérarchie le lui propose, car c’est déjà comme ça que ça se passe !

 

Bref, c’est un « non-sens » de la gestion des compétences et carrières que de laisser se décatir tous les autres en leur procurant un emploi-à-vie.

Un vrai et monumental gâchis humain !

 

Je vais même dire que le type qui fait « emploi-à-vie », en général, pour rester là où il est, il a tellement avalé de couleuvres que ça contredit complètement le fondement même de « l’emploi-à-vie à » pour n’en être plus le génial compétiteur de concours qu’il était dans sa prime-jeunesse : Un désastre, tout autant.

Car, on lui a promis « l’emploi-à-vie », hors des contraintes de carrière, loin des tentations d’argent, pour justement assurer un « service publik égal pour tous », sans favoritisme antirépublicain : C’était le but dès la Révolution et la première République.

Bé, du coup il en perd sa liberté de penser, d’arbitrer au fil du temps, de reconnaître ses erreurs et de les corriger : Il en perd tout esprit critique sur son propre travail et les améliorations à apporter.

Et du coup, on tombe dans le travers qu’on voulait justement éviter, à savoir rester « équitable », c’est-à-dire de traiter différemment des choses dissemblables pour obtenir « une égalité de traitement des kon-citoyens face à la charge de la chose publik ».

 

Alors qu’au contraire (je l’ai vu et eu à le gérer), un mek qui sait que de toute façon il ne va pas au-delà d’une certaine échéance, mais qui se sait être « intouchable » avant l’échéance tant qu’on a rien à lui reprocher dans l’exercice de sa fonction ou de sa profession pour une raison ou une autre, il est « incompromisssable » et fera son boulot à la perfection et en totale indépendance et responsabilité, ce qui est l’objectif recherché.

Bon, faut se méfier, à la fin, il peut aussi être totalement démobilisé, dès lors qu’il estime que tu auras intérêt à le mettre dans un placard en attendant l’échéance, plutôt que de te lancer dans une procédure pour mettre un terme plus rapide à son contrat sur le fondement de son « in-fonctionnalité » impromptue survenue entre deux.

Mais on m’a assuré (des « syndiqueux ») que l’honneur d’un prolétaire, ça reste l’ouvrage bien faite !

Jusqu’au bout…

De toute façon, le « mek qui triche », il sera prévu de le mettre en prison jusqu’à sa retraite : Ça libérera des places pour les « d’jeunes » et en créera d’autres dans la « pénitentiaire »…

 

Donc, le CDI (qui n’est pas « l’emploi-à-vie », mais juste une façon de faire croire que ça peut durer : c’est plus motivant !) et les « emplois à vie », bé non !

Si on veut une Nation moderne, où les gens s’enrichissent mutuellement de leurs vécus et savoirs-faires réciproques, il faut les mélanger, les « zouker » régulièrement, il faut qu’il puisse se remettre en question de temps-en-temps !

La preuve ? L’emploi à vie (issue d’un quiproquo sis dans le préambule de la Constitution de la IVème République = On y cause de « droit au travail » pour tous, une revendication de « l’aile gôche » du moment) (*), ça fonctionne comme ça depuis la libération, et voyez où nous en sommes rendus !

CQFD…

 

Bon, il y a aussi plein d’autres raisons, mais n’entrons pas dans les détails.

Des élus qui ne font pas plus que deux mandats d’affilée, avec rupture au bout, avec des fonctionnaires qui ne font pas plus de 2 fois 3 ou 5 ans au même poste et passe ailleurs se renouveler, la tentation de la soumission sera rendue très difficile, dans la vie publik comme dans la vie des entreprises.

Et chacun pourra travailler correctement selon ses compétences du moment.

Au lieu de s’enkyster, se fossiliser sur des avantages-acquis qui ne se justifieront jamais.

 

Mais ce que j’en dis, naturellement, tout le monde sauf « Krikri Yodacob » s’en fout.

Et après tout, pourquoi pas ?

La planète a bien continué de tourner sur elle-même (loi sur la conservation du mouvement dans le vide) sans moi, n’est-ce pas ?

 

I-Cube

 

(*) Raisonnement de juriste : Le « droit au… », c’est seulement un « droit à l’accès à… ».

Ce n’est pas parce que c’est marqué que j’ai le « droit d’être beau » que j’ai accès à la chirurgie esthétique !

Idem pour « l’intelligence », la preuve : Y’en a encore qui confondent allègrement « droit à… » avec « obligation d’avoir ou d’être… », intelligent !

Les « gueux » !

 

Raisonnement de Corsu : Le « droit au travail », ce n’est pas non plus une obligation.

On n’est pas tous là à réclamer le droit de se soigner. En Corsica-Bella-Tchi-tchi, on préfère et revendique le « droit à… », ne pas être malade !

Et comme le travail, c’est reconnu être une maladie dont il faut se soigner, au moins depuis que même sur le continent ils ont inventé la « médecine du travail »…

Alors, basta !

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